Critiques de Vingt-Quatre heures de la vie d'une femme

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24 heures ? Zweig occulte Bauer.

"La plupart de gens n'ont qu'une imagination émoussée. Ce qui ne les touche pas directement, en leur enfonçant comme un coin aigu en plein cerveau, n'arrive guère à les émouvoir; mais si devant leurs...

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le 12 août 2011

49 j'aime

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Critique de par madamedub

Est-ce que vingt quatre heures peuvent changer la vie d'une femme? Telle est la question de ce court roman de Stefan Zweig, qui relate comment une femme honorable, veuve et seule au monde, a pu...

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le 7 mai 2011

32 j'aime

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La ion toujours et encore

Faut-il que Stefan Zweig soit un ionné pour écrire de telles nouvelles, Faut-il qu'il ait une sensibilité à fleur de peau pour conter avec autant de ion les relations amoureuses. Fait-il...

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le 14 sept. 2014

23 j'aime

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Critique de par Gwen21

J'ai enfin pris le temps de lire l'une des nouvelles les plus plébiscitées de Stefan Sweig, "Vingt-quatre heures de la vie d'une femme". Texte court qui se lit d'une traite, phénomène que j'attribue...

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le 12 oct. 2014

21 j'aime

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Critique de par DieLorelei

Il y a parfois des moments brefs de notre vie qui changent notre rapport au monde et restent en nous gravés plus profondément que des années entières. Parfois, vingt-quatre heures suffisent à changer...

le 8 avr. 2013

18 j'aime

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Le cœur a ses raisons que la raison ne connaît point !!!

On débute à une époque qui vit ses derniers feux pour nous plonger ensuite encore plus dans le é, on part d'un narrateur qui en introduit un autre (une narratrice en l'occurrence ici !!!) ; donc...

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le 20 avr. 2014

11 j'aime

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Critique de par Babalou

Est-il possible de faire plus belle description des mains d'une personnes ? Qu'elles prennent vie sous nos yeux, fiévreuses et torturées, comme la relation improbable qui se noue entre cet homme et...

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le 7 oct. 2010

11 j'aime

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SJW incoming

Le propos général, qui a une visée universelle, le titre en est la preuve, semble être qu'il faut dédouaner la femme (LaFâme) de ses responsabilités car parfois, celle-ci ne se contrôle pas, car...

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le 18 juil. 2017

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« Au miroir concave de ces mains »

J’aurai toujours des réticences avec Zweig. La première concerne son style – et peut-être la langue littéraire allemande du XXe siècle en général. Chaque phrase a l’air contrainte, sanglée, torturée,...

le 27 nov. 2020

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Vingt-quatre heures inoubliables

Madame C. se souvient de cette journée, jamais elle n'aurait pu l'oublier. Vingt-quatre heures imprévisibles, spontanées, qui débutent dans un casino par la connaissance d'un jeune homme accro aux...

le 3 févr. 2019

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