Ænima
7.7
Ænima

Album de Tool (1996)

Ænima par Snake Plissken

TOOL peaufine son art en explorant le territoire du rock progressif. AENIMA alterne de longues plages d’une finesse et d’une précision étonnantes avec des morceaux plus courts et plus agressifs. La rythmique invraisemblable de la batterie, les lignes de basses, les guitares crachant par intermittence : chaque musicien repousse les limites de son instrument, façonnant les sons les plus complexes et les plus poétiques que le métal ait pu produire à ce jour. L’atmosphère est lugubre, pesante mais sert un humour, glacial, caustique... comme ce “Die Eier Von Satan” qui sonne comme un discours d’Adolf Hitler mais n’est rien d’autre que la recette d’un space cake! Un pur chef d’oeuvre.

10

Créée

le 16 avr. 2016

Critique lue 586 fois

1 j'aime

Snake Plissken

Écrit par

Critique lue 586 fois

1

D'autres avis sur Ænima

This may hurt a little, but it's something you'll get used to.

Quand un album commence par Stinkfist et Eulogy et se termine par Third eye, on se tait, on écoute, on savoure on respecte et on met une bonne note. Ænima est radical, brut, peut-être globalement le...

le 2 janv. 2012

5 j'aime

2

Ænima
10

Critique de Ænima par nicok

Le meilleur Album de mon groupe préféré... le 10 s'impose : des morceaux riches, variés, surprenants, avec changement de rythmes.... si les 2 1er album du groupe st déjà très bon et accomplis, là on...

Par

le 21 janv. 2016

2 j'aime

Ænima
10

Le meilleur album de la terre du monde... pour moi.

C'est parfait, c'est lourd, c'est intense, c'est mystique, c'est beau, c'est sombre. Voilà.

le 16 juin 2014

2 j'aime

Du même critique

Critique de La Femme et le Pantin par Snake Plissken

Julien Duvivier tente de répondre à ses détracteurs des "Cahiers du Cinéma" en mettant en scène Brigitte Bardot, symbole de cette liberté tant défendue par la Nouvelle Vague. Pari réussi si on s'en...

le 16 avr. 2016

5 j'aime

Un monde sans hommes

Après le succès commercial de « MASH », Robert Altman jouit d’une liberté artistique exceptionnelle tout au long des années 70, peaufinant avec « Nashville » et « Un mariage » un style de récit...

le 27 févr. 2015

5 j'aime

Fin de siècle
10

Critique de Fin de siècle par Snake Plissken

« Fin de siècle » est l’album de la grandiloquence, où Neil Hannon assume totalement son statut de génie mégalomane. Le titre en ce sens le plus grandiose est sans conteste « Sweden », où...

le 16 avr. 2016

3 j'aime