Toujours mauvais mais ce second tome relève malgré tout le niveau. On renoue avec la sf ce qui paraissait essentiel vu le pitch, on gagne quelques personnages (tant mieux parce que c'était inable le duo héroïne/faire-valoir) et la série rentre dans le vif du sujet en assumant son statut de prequel.
Arleston raconte sans finesse la genèse de son monde, donc malgré la médiocrité du récit ça m'intéresse d'autant que les éléments s'imbriquent parfaitement avec Lanfeust (cycle 2 et surtout cycle 3 qui place le Magohamoth en son cœur).
Graphiquement toutefois, la série continue d'être hideuse...