Deux axes narratifs sont développés dans Macaroni : le premier, une histoire touchante entre un adolescent et son grand-père et le second, raconter la vie brisée d'un mineur (le grand-père en question). Malheureusement, les deux manquent de profondeurs. D'un côté, je voulais en apprendre plus sur la condition des mineurs. Ça n'a pas été le cas. Et de l'autre, avoir un récit attachant. Là, c'est plus ou moins réussi.
Par contre, ce que je retiens le plus, se sont les couleurs rouges/marrons utilisées pour évoquer les tons de Charleroi. J'y pense encore souvent et je me surprend à vouloir le ré ouvrir malgré mon goût de trop peu