"Je ne suis pas seule quand vous m'appelez."

Second diptyque pour IR$. Et toujours autant de mystères sur notre héros. Il continue d'appeler Gloria, dès le début de l'album. Lui toujours dans son immense maison, son palace vide. Elle, à se prélasser sur son lit. Pourquoi, pourquoi est-elle derrière ce téléphone?

Ce tome nous présente également la sœur de Larry, une pianiste qu'il voit peu, mais qu'il aime tendrement et le lui dit d'un regard. Même auprès d'elle, il reste froid, imperturbable. Il évoque leur père... probablement disparu avant qu'ils n'atteignent l'âge adulte. Plus qu'une réponse, c'est un autre voile qui se pose ainsi sur le é de notre héros. Tout au plus apprend on que sa demeure est le repère familial, et le vide qui la remplit n'en est que plus triste.

Outre ces deux scènes clés, l'album est grosso modo une course poursuite. Un ancien traider rachète pour on ne sait pas qui un cartel de la côte est à la famille qui le possédait, IR$ et surtout DEA s'en mêlent et cherchent à les choper.