Ken et Momo continuent de se rapprocher dans des situations aussi adorables que cocasses. Leur envie mutuelle de partager un repas vire à un quiproquo hilarant : chacun cherche l’autre sans oser se l’avouer, et ils finissent par penser qu’ils s’évitent. Ces moments mignons et maladroits donnent envie de les réconforter tant ils sont touchants.
Côté intrigue, Ken aurait dû récupérer son appareil génital après la défaite de Mémé Turbo… sauf que ce n’est pas vraiment le cas. L’embarras de Ken face à ce sujet délicat contraste avec la désinvolture de Momo, ce qui donne lieu à des conversations absurdes et hilarantes. Si on pourrait craindre un humour lourd, le manga parvient à rester léger et jamais déplacé.
Quant à Mémé Turbo, elle continue de semer la pagaille avec son caractère unique. Ce personnage, aussi imprévisible que charismatique, se dévoile davantage dans ce tome, ajoutant une belle dynamique à l’histoire.
**En résumé**
Un tome drôle et rafraîchissant, où les quiproquos et les interactions maladroites entre Ken et Momo apportent beaucoup de légèreté. Avec ses monstres délirants et son humour bien dosé, cette série reste un plaisir à suivre !
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