Torghal est encore jeune et miévreux dans cet album, mais que les planches de Rosinski sont belles !
L'ambiance de complète décadence de Brek Zarith, les leçons de pouvoir données par le retors personnage Shardar à Torghal comme à Gallathorn sont des petits bijoux.
On sent bien que le personnage de Thorgal n'est pas encore stabilisé, mais il commence vraiment à s'affirmer avec les concepts de rejets du pouvoir, quel qu'il soit, l'instinct protecteur envers sa famille, le refus des honneurs.
Un très bon Thorgal qui clôt le cycle sur Brek Zarith.