Progressant dans le récit « Les Éternels : tome 2 : la fin du voyage » est légèrement plus animé et palpitant que son prédécesseur.
L’histoire se met en place et révèle plus de saveur.
Bien entendu, le personnage de cet énigmatique Céleste renégat, mystérieuse divinité omnipotente et menaçante surant dans l’univers Marvel même des Galactus ou des Gardiens, est le point fort du récit.
Comme pour le tome 1, les dessins de John Romita Jr sont magnifiques avec cet univers d’énergie pure, de magie et de technologie décrit dans un foisonnement intense de couleurs.
Néanmoins compte tenu du potentiel de l’histoire, on demeure toujours sur sa faim car les personnages des Éternels demeurent malgré leurs formidables pouvoirs bien trop ifs à l’exception de Makkari et dans une moindre mesure d’Ikaris.
Quand aux super héros traditionnels (Pourpoint Jaune et même Iron man) ils n’ont que des rôles de faire valoir dans ce contexte cosmique qui les dée !
Critiquecompleteici