Les bleus font boule de neige

Ce 23 ème tome des Tuniques Bleues fonctionnent plutôt bien.

Un bon décors et une bonne intrigue de base. Malheureusement la fin est mal développée et déçoit par sa facilité gagesque. C'est dommage. Ce qui m'a étonné dans cet album c'est la complicité entre Blutch et Chesterfield ; ils se râlent toujours dessus, mais leur amitié est aussi nettement plus développée et ainsi on évite d emontrer le sergent menacer Blutch de mort, le pistolet au poing. C'est pas grand chose mais ça crédibilise pourtant le scénario et surtout ça permet à Cauvin de gaspiller des vignettes pour des querelles inutiles.

Les décors et l'ambiance sous neige réussis, c'est surtout à Lambil qu'on les doit ! En effet, il fait preuve d'un grand talent pour retranscrire ce froid. Dommage que son découpage ne soit pas moins formaté et plus original, audacieux, mais bon il ne faut plus trop s'attendre à quoi que ce soit à ce niveau là pour les prochains albums...

Bref, un album très agréable à lire par son ambiance et son intrigue principale mais qui se perd en find e route, avec une conclusion un peu trop facile et superficielle.
7
Écrit par

Créée

le 2 mars 2013

Critique lue 338 fois

1 j'aime

1 commentaire

Fatpooper

Écrit par

Critique lue 338 fois

1
1

D'autres avis sur Les Cousins d'en face - les Tuniques bleues, tome 23

Critique de Les Cousins d'en face - les Tuniques bleues, tome 23 par Antevre

Un album plutôt sympa, qui contient quelques moments forts mais qui manque malheureusement de rythme et se perd un peu quant à son intrigue principale. Blutch et Chesterfield sont cette fois envoyés...

Par

le 24 nov. 2014

1 j'aime

Du même critique

Django in White Hell

Quand je me lance dans un film de plus de 2h20 sans compter le générique de fin, je crains de subir le syndrome de Stockholm cinématographique. En effet, lorsqu'un réalisateur retient en otage son...

Par

le 3 janv. 2016

123 j'aime

35

Strip-Tease
10

Parfois je ris, mais j'ai envie de pleurer

Quand j'étais gosse, je me souviens que je tombais souvent sur l'émission. Enfin au moins une fois par semaine. Sauf que j'étais p'tit et je m'imaginais une série de docu chiants et misérabilistes...

Par

le 22 févr. 2014

123 j'aime

45

Critique de Taxi Driver par Fatpooper

La première fois que j'ai vu ce film, j'avais 17ans et je n'avais pas accroché. C'était trop lent et surtout j'étais déçu que le mowhak de Travis n'apparaisse que 10 mn avant la fin. J'avoue...

Par

le 16 janv. 2011

117 j'aime

57