Une atmosphère.

Sur cet albums les opinions sont partagé certains l'irent d'autres le juge moyen voire médiocre.
C'est l'un de mes épisode préféré sans savoir exactement pourquoi. Certes j'ire la construction du scénario de Goscinny et la mise en scène de Morris esot irable (cf les planches en rouge et noir de l'incendie qui vire au bleu quand l'incendie est éteint), mais bon de telles performances sont assez habituel chez ces deux virtuoses. Alors?
Je crois que c'est l'atmosphère assez douce et provinciale qui se dégage de l'album qui me plait.
A la première image Lucky Luke et Jolly Jumper avance paisiblement en exprimant leur satisfaction de revenir dans l'ouest.
L'épisode précédent "A l'ombre des derricks" les a mis aux prises avec un monde de cauchemar pollué peuplé de gens perdant la tête s'abandonnant à la violence (lynchage pour un vol de tonneau) au prise avec un vrai méchant aussi pervers que dangereux.
Dans les rivaux rien de pareil les O'Hara et OTimmins se détestent et se battent sans cesse mais jamais personne n'est tué. Les habitants s’accommodent de cette situation qu'ils voient plus comme une fatalité qu'une catastrophe. Si les perpétuelles bagarres et destructions des clans entrave le développement de la petite cité les habitants demeurent et s’accommodent de la situation en réparant les dégâts causé (à l'instar du patron du saloon).