Le retournement
La série des survivants est pour moi une découverte de l’univers de Léo, n’ayant suivi ni Antarès ni Aldébaran. J’ai donc découvert le tome 1er avec un regard neutre, et j’ai été plutôt déçu, à la...
Par
le 2 mars 2018
BD franco-belge de Luis Eduardo de Oliveira (Leo) (2012)
La série des survivants est pour moi une découverte de l’univers de Léo, n’ayant suivi ni Antarès ni Aldébaran. J’ai donc découvert le tome 1er avec un regard neutre, et j’ai été plutôt déçu, à la fois par l’aspect lisse des dessins, et l’organisation de la survie, qui ressemblait à un vague mélange entre le Sa majesté des mouches de Golding et un bête Walking Dead.
Le tome 2 en revanche, démarre sur un retournement, qui en suit d’autres et, sans spoilers, on est rapidement happés par les tournants que prennent l’histoire.
Désormais totalement conquis, je vais découvrir la suite de cette série et ses parents (car elle est un spin-off de trois autres séries, Antarès, Aldébaran et Betelgueuse), tout en remerciant la bibliothèque de m’avoir permis d’emprunter les deux premiers tomes sans quoi je n’aurais certainement pas déé le premier, bien que le côté « fantasme féminin » du sauvage fasse très ancré dans les années 80 pour une série débutée dans cette décennie.
Cet utilisateur l'a également ajouté à sa liste 2018 - Les BD lues
Créée
le 2 mars 2018
Critique lue 151 fois
La série des survivants est pour moi une découverte de l’univers de Léo, n’ayant suivi ni Antarès ni Aldébaran. J’ai donc découvert le tome 1er avec un regard neutre, et j’ai été plutôt déçu, à la...
Par
le 2 mars 2018
Extraordinaire ! Alors que le premier album était déjà excellent, mais reposant sur des ressors bien connus par les fans d'Aldébaran et suites, celui-ci propose un rebondissement incroyable et...
Par
le 2 oct. 2017
Alors qu'à la fin du premier tome j'ai dû faire le deuil de l'idée d'un survival en milieu ouvert sur une planète hostile et goûter à quelque chose que je n'aime pas trop dans la SF :...
Par
le 28 sept. 2014
Voilà. Malgré l'ignoble Aladin par Kev Adams et le supplice des quatre fantastiques , il aura fallu attendre les tout derniers jours pour se taper la pire purge de l'année 2015, montrant bien que...
Par
le 27 déc. 2015
14 j'aime
Il va falloir songer à faire cesser cette nouvelle mode Hollywoodienne de « prendre un film, mettre une madame et refaire exactement comme celui d’avant mais en moins bien ». Mais pas aujourd’hui,...
Par
le 12 juin 2019
13 j'aime
4
L’école est finie nous joue le syndrome du grand partage (donc en gros si vous n’avez pas le temps : piétiner allègrement le message qu’on voulait faire er par une réalisation et des personnages...
Par
le 13 août 2018
13 j'aime
3