Nambia restera vraiment un cycle en demi-teinte, surtout comparé à Kenya qui était bien meilleur. En fait on a ici la conclusion assez convenue d'une aventure dont j'ai oublié quasiment tout le contenu des autres tomes.
Alors non ce n'est pas antipathique, au contraire, j'ai trouvé ça agréable à parcourir, mais ce genre de fin j'en ai déjà vue, j'en ai déjà lue et ceci sans qu'on me prenne 5 tomes sortis sur je ne sais plus combien d'années pour me la raconter.
Et il est là le problème de Namibia, c'est que si l'aventure Pulp en Namibie où l'on retrouve Göring vivant à la fin de la seconde guerre mondiale je trouve ça génial, ben finalement le soufflé retombe bien vite, parce que les dessins ne sont pas à la hauteur, que l'héroïne a des réactions un peu anachroniques (mais on sait bien que Leo aime les femmes fortes) et que tout ça sent le réchauffé. Je ne vois pas ce que ça apporte de plus par rapport à Kenya.
Tout le age qui semble se er dans un complexe militaro-industriel alien bof quoi... C'est vraiment générique. Alors qu'à côté j'ai bien aimé le fait que l'on puisse voir Staline discuter avec Churchill de ce qu'il faut faire de ces extraterrestres et de comment les contrer...
Bref vraiment un cycle demi-teinte, mais ils ont intérêt à relever le niveau avec Amazonie.