Paris, secteur soviétique - Jour J, tome 2 par Kabuto

Dans ce tome 2 de Jour J, la deuxième guerre mondiale se termine différemment. Le débarquement en Normandie ne s’est pas é comme prévu et les Russes ont libéré Paris. La capitale se retrouve donc coupée en deux et Checkpoint Charlie n’est plus à Berlin mais dans la capitale française. L’étrange atmosphère qui en découle est assez réussie mais encore une fois, ne vous attendez pas à chamboulement historique majeur. Tout est question d’ambiance et cette ville truffée d’espion, où traverser la Seine est dangereux m’a séduit. Le héros lui aussi est intéressant. Gigolo la nuit, espion le jour, c’est un sacré personnage qui nous fera vivre une aventure mouvementée dans un Paris minée par la guerre froide et les trafics en tous genres. Une réussite.

6
Écrit par

Créée

le 9 oct. 2016

Critique lue 232 fois

Kabuto

Écrit par

Critique lue 232 fois

D'autres avis sur Paris, secteur soviétique - Jour J, tome 2

Critique de Paris, secteur soviétique - Jour J, tome 2 par Gatcha

Alors que le monde se remet difficilement de la deuxième guerre mondiale, la est toujours coupée en deux. Le débarquement en Normandie ayant échoué à cause d’une mauvaise météo, il a fallu...

Par

le 31 août 2012

4 j'aime

Du même critique

Chroniques de la bonne société anglaise

Une parfaite évocation de la société anglaise des années trente avec les aristocrates d'un coté et les serviteurs de l'autre. Un monde fascinant fait d'hypocrisie, de mensonge et d'apparence. Alors...

Par

le 26 juil. 2011

20 j'aime

3

Critique de Maus : L'Intégrale par Kabuto

Encore une BD que je n'avais pas franchement envie de lire. Un sujet lourd et tellement exploité que malheureusement j'ai l'impression qu'on en a fait depuis longtemps le tour et qu'à part le devoir...

Par

le 17 juin 2012

12 j'aime

Critique de Pale Rider, le cavalier solitaire par Kabuto

Un cow-boy solitaire débarque dans un bled perdu ou comme par hasard, les pauvres prospecteurs se font voler leurs concessions par un gros méchant. Alors le gentil cow-boy solitaire (même pas peur)...

Par

le 25 févr. 2011

11 j'aime