Un deuxième tome rendu brouillon par l'ambition d'un scénariste qui croit que jouer encore et encore avec l'identité des personnages est un bon moyen de créer une histoire de qualité — ç'aurait pu être le cas s'il avait pris la peine de présenter correctement lesdits personnages au préalable. Des noms sont balancés à tout va, parfois sans même être associés à des visages, et les seuls humains qui sont physiquement identifiables (Mirai et Saki) ne font rien de tout le tome (bon, ils transpirent).
Le concept a beau être intéressant, c'est pour le moment un tel fouillis qu'il est difficile d'apprécier la lecture.