Autant prévenir tout de suite, la Black Widow présentée dans cette série n’a rien à voir avec la plantureuse incarnation de l’espionne par Scarlett Johansson dans les films du MCU et hormis une apparition de Maria Hill (directrice du S.H.I.E.L.D.) et une allusion aux Avengers on ne retrouve aucune trace des autres héros Marvel.
Et donc contrairement à ce que la Black Widow des films laisse paraître celle de ce comics nous montre un tout autre visage loin de la personne froide jouée par Scarlett (même si sur ce point ça s’améliorait dans Age of Ultron) et que la belle russe rousse a aussi un coeur et qu’en essayant de se racheter pour les erreurs de son é elle finance de nombreuses oeuvres caritatives pour venir en aide à des familles, des handicapés etc.
Bref ce premier tome de la série Black Widow est une agréable surprise qui rend plus humaine une héroïne qui avait tendance (enfin pour moi) à ressembler un bloc de glace sans coeur venu de l’Est.
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