Qu'est-ce que ça changera dans 500 ans ?

Snoopy et les Peanuts, c'est comme la couette de Linus, ça réconforte. On se sent moins seul face à l'infini quand on lit les pérégrinations de ces étranges enfants. En trois cases et quelques coups de crayons, Shcultz arrive à poser une émotion profonde. J'en suis au 7e tome, et je ne me lasse toujours pas des explications loufoques supposées scientifiques de Lucy, de la relation de Schroeder avec son piano et Beethoven, du nuage de poussière qui suit Pig-Pen partout, de Charlie Brown qui lutte vainement contre le monde, et de Snoopy qui tente de se transformer en vautour ou autre animal absurde.
C'est une mélancolie douce que de lire Snoopy et les Peanuts.
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le 24 sept. 2013

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slowpress

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