Merci Agnès Merlet.
Juste quelques notes:
Je repense encore à ce film aussi à l'occasion de la sortie d'une BD sur le bon sujet: Artemisia par par Tamia Baudoin et Nathalie Ferlut.
Je n'ai pas revu ce biopic de longtemps mais je me souviens avoir beaucoup aimé: au moins, il avait le mérite de me faire découvrir l'artiste Artemisia Gentileschi (1593-1653)
J'avais déjà aimé de la même réalisatrice, Agnès Merlet, un film très émouvant sur, entre autres, l'enfance et les liens quasi magiques entre frères et sœurs: Le fils du Requin.
Sans savoir que Michel Serrault avait lui-même une fille... j'avais trouvé son rôle de papa et sa relation avec Valentina Cervi, quasi sans filtres...
sans les masques habituels des acteurs...
j'avais eu une sensation raw de douleur quand il apprend les malheurs de sa fille...notamment, lors de la scène où le papa secoue l' échafaudage sur lequel est l'amant de sa fille et il lui crie LA question...elle est inoubliable...je ne voyais pas les trucs habituels d'acteurs et d'actrices...
une des scènes de mon panthéon d'écervelé .
A voir et à vivre: pour ses scènes de plage, ses scènes d'atelier, ses scènes père/fille mais aussi celles sur la technique et cet Art .
(un meilleur texte, mais en Anglais, est sur le site du New-York Times)