Pour mémoire : tourné en juillet 1895, La Ciotat, sur la plage de la famille Lumière (Antoine, le père).
Le ponton rentre dans le cadre, sans son départ. Les enfants sautent, remontent sur le rocher au premier plan, sortent hors champ et réapparaissent. Il y a peut-être une bonne avec eux également. Les vagues, la lumière du soir, le jeu, les plongeons fesse par dessus-tête ou simples sauts dans la mer... qui a de 'vraies' vagues soudain et qui éclabousse
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le 20 oct. 2015
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le 20 oct. 2015
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J’inaugure le cycle consacré à la mer par ce petit film qui a fait parti du programme de la projection publique au Salon indien du Grand Café à Paris en 1895.On remarque surtout la composition...
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le 29 déc. 2024
Les bains de mer ont quelque chose de parfaitement désuet, qui a le pouvoir d'émouvoir en moi l'estivant en maillot intégral à marinière.
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le 14 janv. 2017
Revu récemment le 6 juillet 2011 sur écran d'ordinateur mais surtout le 18 et le 20 mai 2014, en salle. Toute la grandeur du film ne m'est apparue d'ailleurs que sur grand écran... en projection...
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le 12 sept. 2015
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Film masculin au possible, proche de la grossièreté souvent et pourtant porté par la grâce du jeu... Cavalier réussit un pari unique, celui d'une collaboration étroite avec ses acteurs qui, si mes...
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le 2 oct. 2015
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La vraie comédie est-elle évangélique ? C'est ce que semble prouver (ou vouloir montrer) le Fils de Joseph. En quoi ? En résistant à l'appel du meurtre, du règlement de compte. Comment ? Au lieu de...
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le 8 mars 2016
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