Quand on met autant d'argent dans des décors somptueux, qu'on se vante d'avoir fait des recherches et réussi à reconstituer les auvents du Colisée, on ne laisse pas trainer dans le paysage des dômes renaissance et on se renseigne un peu sur les us et coutumes de l'époque.
ons sur la morale américaine, chrétienne et patriote des personnages (après tout, le héros peut être chrétien), mais qu'on serve long comme le bras du "sire" ou "altesse" à l'empereur, à son associé et à leurs familles, c'est vraiment choquant. Scott a dû confondre avec Louis XV.
Qu'on les appelle par leur nom ou par leur titre: "Auguste" pour l'empereur, "César" pour son co-empereur.
On a vraiment l'impression que pour Ridley Scott et les américains tout ce qui se e en Europe avant la découverte de l'Amérique et peut-être même avant la déclaration d'indépendance relève d'une sorte de préhistoire nébuleuse ou l'on retrouve indistinctement mêlées les périodes et les cultures de la Grèce antique jusqu'au siècle des lumières.
é ce coup de colère, il reste quand même des décors somptueux et un charismatique Russel Crowe qui réussit à nous entrainer dans ses aventures.