Maps to the Stars par Aryal
Ce que Cronenberg nous livre c'est une fantaisie. Un vision du Hollywood excessif, concentré et extrême. Oui, il y a des moments où c'est trop, mais l'effet voulu est là (à mon humble avis). On est tantôt fasciné, tantôt dégoûté, parfois même les deux, mais certainement pas indifférent aux événements. Et si certains sont (trop?) prévisibles, on reste néanmoins scotché et à la sortie, au moins un peu secoués.
Mention spéciale à Julianne Moore qui campe une Hannah puérile, vaniteuse, détestable et que l'on adore détester.
- Aryal