J’ai cru à un absurde à la Moonrise Kingdom ou The Lobster mais Septembre and July est bien houleux. Ce film ressemble à l’océan, je ne saurais dire. Il fascine mais on peut s’y noyer à trop l’écouter. C’est le quotidien de avec Septembre, elle se perd dans les paroles de sa sœur, ses jeux, d’abord enfantins puis malsains et suicidaires. La sororité raisonne dans ce film, on aurait presque pitié puis peur pour July qui ne saurait se débrouiller sans sa sœur. Et pourtant…
Créée
le 18 avr. 2025
Critique lue 17 fois
En tant qu'actrice, Ariane Labed n'a jamais eu peur des rôles à risque, à bonne école dès les films de ses débuts avec Athiná-Rachél Tsangári et Yórgos Lánthimos. Il est donc logique que son premier...
Par
le 21 févr. 2025
3 j'aime
Premier film au parti-pris esthétique radical, il déconstruit les conventions narratives pour créer une contre-réalité inquiétante où l’insolite et l’imprévisible règnent en maîtres. Film au...
Par
le 23 févr. 2025
2 j'aime
1
"September & July", c’est un peu comme un long dimanche après-midi pluvieux : tout est lent, tout est calme, mais à un moment donné, vous vous demandez pourquoi vous êtes là, à regarder la pluie...
Par
le 27 févr. 2025
1 j'aime
Ce film est aussi long que rocambolesque. Tout est bizarre et malaisant, on dirait que tout le monde est un pervers narcissique, chacun agit pour son compte personnel sans jamais se poser plus de...
Par
le 19 avr. 2025
J’ai cru à un absurde à la Moonrise Kingdom ou The Lobster mais Septembre and July est bien houleux. Ce film ressemble à l’océan, je ne saurais dire. Il fascine mais on peut s’y noyer à trop...
Par
le 18 avr. 2025
