Il était temps que Fast & Furious e à la moulinette Asylum. C’est chose faite avec le minable Street Racer, grand moment de course auto sur écran de TV…
Johnny sort de prison. Lors d’une course illégal, il a renversé un enfant qui est maintenant en chaise roulante. Provoqué par son ancien pote et poussé par son agent de probation, il va participer à une nouvelle course. Mais pour lui, le but est d’aider le gamin…
Derriére ce scénario prévisible, ses dialogues moisis (des fois à en rire), et son casting fort limité, le film se rate en outre sur ses courses de voitures. Soyons clairs : elles sont minables. Les véhicules donnent l’impression de rouler à 30 et on comprend pourquoi les courses sont si peu montrées dans le film. Et ne vous attendez pas à voir de belles bagnoles hein. Ce sont des modéles récupérés à droite et à gauche pour faire bien.
Tout sent le Fast & Furious raté dans ce film. De ses personnages, son scénario faussement ambitieux, (heureusement, on évite « La famille » !), ses courses mais aussi son esthétique qui se voudrait clinquante (ne rêvez pas hein). Le résultat est une fois de plus minablissime, même dans le monde du nanar…
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Créée
le 8 janv. 2022
Critique lue 114 fois
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