Tatami ou comment les maths sont mortes.

Enculage de mouche nécessaire :

La compétition s'étale sur une nuit or c'est impossible.

On la voit faire 5 combats avant les quart ce qui nous fait aller chercher les 128ème de final : donc 256 judokate en lice.

Il y a deux tatami, ça prend au bas mot 10 minutes par combats ce qui fait 6 combats par heure par tatami donc 12 en tout.

Rien que le premier round va chercher dans les 10 heures et tout ça pour la catégorie moins de 60 Kg.

Les organisatrice nous parle de 217 athlètes or on voit des hommes s'échauffer aussi alors si on a déjà 256 judokate de - de 60kg on a plus de 1000 athlètes au bas mot à cette soirée.

Le personnage principale a 6 fois d'affilé la couleur blanche, elle a vraiment beaucoup de chance car elle a une probabilité d'une sur 64 pour avoir 6 fois la couleur blanche.

La fédé iranienne s'inquiète qu'il y ait une Israélienne qu'elle pourrait rencontrer en finale car on déduit à la fin qu'elle était dans l'autre partie du tableau, donc ils s'inquiètent après une seule rencontre genre il reste 128 judokate à ce stage ce qui fait une probabilité de moins de 1 sur 127 de la rencontrer. Dans ces cas là fallait pas l'envoyer au tournoi à la base du coup.

Pourquoi la famille du personnage principale regardent la compétition commenté en anglais?

A la fin l'entraîneuse lui dit que son mari la regarde? Comment pourrait-il le faire dans le désert

sans internet?

Une femme certes sportive qui s'échappe de deux gars bien entraîné des services secret en courant.

Tout ça me fait sortir du film.