Désir de mort
Après le viol de sa fille, devenue catatonique, et le meurtre de sa femme, un architecte, qui jusque là était plutôt bienveillant, devient violent et décide de nettoyer New York de sa pourriture...
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le 19 avr. 2014
35 j'aime
5
Etonnamment (et j'en suis moi-même le premier étonné), je crois que je ne l'avais jamais vu.
Et ce que j'en retiens, c'est que si le film est bien moins réactionnaire que ce que son aura et son héritage pourraient laisser croire (ça, je le savais déjà), il est aussi bien plus nuancé, ne tombant jamais dans le réquisitoire ou le discours simpliste. Alors ouais, ça n'a pas forcément très fin (Michael Winner, c'était quand même un peu un bourrin), la représentation des loubards braquant tout ce beau monde est loin d'être raffinée, mais le traitement du personnage de Paul Kersey, des réactions de la police, de la société, des médias, tout ça est franchement bien dessiné, et garde toute sa pertinence aujourd'hui (et même en gagne, quand on voit le niveau actuel...)
Bref, à redécouvrir.
Créée
le 12 mai 2025
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Après le viol de sa fille, devenue catatonique, et le meurtre de sa femme, un architecte, qui jusque là était plutôt bienveillant, devient violent et décide de nettoyer New York de sa pourriture...
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le 19 avr. 2014
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New-York, années 70, la ville est vérolée par la criminalité. Paul Kersey ( Karol Dionizy Buczynski alias Charles Bronson) est un architecte friqué, logé auprès de Madame dans un quartier huppé de la...
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le 24 juin 2013
23 j'aime
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Drôle de film quand même que ce pavé dans la mare jeté au beau milieu des années 70. À la fois pamphlet rentre-dedans pour dénoncer une société gangrénée par la violence, peinture acerbe d’une ville...
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le 20 nov. 2021
20 j'aime
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Bon, Frank Darabont adaptant Stephen King, c'est un peu un combo gagnant. Ca assure d'un truc carré, respectant l'esprit de l'oeuvre originale, distrayant, émouvant et tout. Sauf que là, il y a un...
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