Revivre les premières aventures dans Rapture ont un goût étrange. C'est revenir à un gameplay pas forcément optimisé (le jonglage entre les plasmides et les armes) et un aspect technique forcément vieillot. Mais par la magie de sa direction artistique unique, la cité engloutie reste encore un endroit fantastique, à l'ambiance toujours aussi inquiétante et vibrante. Bien aidé par sa bande son et ses Big Daddy, stars indétrônables de la saga, dont le premier combat continue toujours de faire son petit effet. La liberté offerte pour dézinguer du chrosomes par paquet de douze est un vrai plaisir, seulement entaché par le gameplay mal pensé (que la suite corrigera habilement) et l’absence de rendu des flingues (on tirerait avec des airsoft ce serait du pareil au même). Un jeu unique qui donnera une saga culte et un classique du jeu vidéo, sans hésitation aucune !