Ayant beaucoup aimé FEAR premier du nom ainsi que le second volet, je me suis donc intéressé de plus près aux studios monolith, qui, apparemment étaient très doués pour créer des ambiances glauques et oppressantes pour vous faire sursauter dans votre canapé.
Chapitre 1 : On arrive dans un vieil entrepôt délabré ou un une scène de crime très inspirée de seven a lieu, s'en suis une course poursuite dans le bâtiment (enfin course poursuite, étant donné la réactivité du héros celle ci ressemblait plutot à des commissions dans un supermarché par un couple de retraités un samedi après midi) ou l'on se fait piquer notre arme de service par le grand méchant du jeu qui tue nos coéquipiers, nous voici donc accusé de meurtre à tort et obligé de faire la lumière sur cette affaire en tant que fugitif.
Chapitre 2: après avoir fuit notre appartement, nous nous retrouvons dans le métro, et là je commence à me poser des questions sur ce jeu, pourquoi est ce si lent ? pourquoi notre héros même quand il court semble avoir deux jambes de bois mal taillées ? pourquoi on nous prend pour des demeurés en nous affichant à chaque fois ce qu'il faut faire devant une porte ? Pourquoi les combats sont-ils si répétitifs et sans intérêt et se limitent à filer des coup de tuyaux à des clochards enragés idiots comme leurs pieds ? Pourquoi on doit ramasser des corbeaux morts ? (et surtout que foutent-ils dans le fin fond du métro ?)
Chapitre 3: Fatigué de marcher à 2 à l'heure, de me promener dans des couloirs d'un ennui à mourir, de filer des coups de tuyaux à des clochards, et surtout fatigué de m'ennuyer, je range définitivement ce jeu dans sa boite pour l'oublier très vite et garder des studios monolith l'excellent souvenir de FEAR et de sa suite...
Les 3 uniques points sont dus à l'ambiance du jeu, qui effectivement est sombre et glauque, mais ça ne fait pas tout....