Le jeu surf sur la tendance des trucs (films, animés, sapes ...) stylés 80's-90's ayant pour cible les trentenaires, je suis donc dedans et autant quand il s'agit d'inspirations digérées et malines je surkiffe autant quand c'est juste du fan service pour me caresser et me faire acheter j'ai envie de sortir ma batte (hiii ;)).
J'étais super hypé par les bandes annonces et le jeu m'a un peu refroidi...
Alors oui ici la DA est top.
Les clins d'oeil (souvent grossiers tout de même) sont appreciables.
Les dialogues sont sympas.
Mais...
Le scenario est très classique avec des dénouements attendus et des deus ex machina qui frisent le foutage de gueule.
Le gameplay est trop répétitif.
Le tout lasse après la 1ère heure en rentrant dans une routine, au point de ternir un peu l'expérience, c'est dommage et surtout très surprenant pour un jeu distribué par Devolver (dont je suis archi fan... HOTLINE MIAMI / MOTHER RUSSIA BLEEDS <3).
Cependant, dans le dernier quart du jeu le rythme s'accélère et la fin est plutôt cool et cohérente, de plus on apprécie toujours suivre les aventures d'un équipe de copains ainsi que les petits moment métaphysiques sur l'amitié, le courage, le chemin d'une vie et la mort.
Donc vous ne serez pas autant marqué que par les autres moutures Devolver mais si vous accrochez après la 1ère heure vous erez un bon et jolie moment.
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le 25 avr. 2018
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le 25 avr. 2018
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Les retards des cheveux bleu de Chris sont super rigolo
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Jan Kounen, que j'aime depuis Dobermann, 99Francs, puis l'excellent d'Autres Mondes (qui est dans mon top 10) et le doc surprenant sur la culture indé de la vape qui même en tant que non fumeur m'a...
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le 29 sept. 2020
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En effet, si aux USA dire des gros mots sans cesse et montrer du nu et du gore suffit à être subversif, ici on ne le reçoit pas de la même façon et c'est très vite lassant, surtout quand il n'y a pas...
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le 2 sept. 2018
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Un prêtre habillé comme l'Undertaker, un québécois qui parle français sans accent, des Roumains qui parlent anglais (en 1952).. Rien à sauver, tout est raté, même pire, on se fout de notre gueule,...
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