Crypt of the necrodancer aurait pu n’être qu'un nième roguelike de plus :
Je rentre dans le donjon, je meurt, j’achète des améliorations et j'y retourne pour mourir un peu plus loin. Et on recommence. Sauf qu'il y a un twist.
Tout dans le jeu est lié au rythme : les déplacements, les patterns des monstres, les gains en pièces d'or, etc.
Du coup vous vous en doutez, la musique a toute son importance. Ça tombe bien, l'ost composée par Danny Baranowsky est tout simplement un monument de chiptune.
Du coup on joue aussi bien à cause de l'addiction classique que peut procurer un (bon) roguelike que pour découvrir les musiques liées à chaque niveau. sans oublier le petit frisson de trouver le marchand du niveau, ce qui déclenche une version spéciale du thème en cours avec de la voix...
Au final ce jeu s’adresse aussi bien aux fans de roguelike qu'aux amateurs de jeux de rythme. D'ailleurs on peut même jouer avec un tapis de DDR.
Oh, et comment résister à un jeu où l'un des boss s'appelle King Conga.