Si aujourd'hui Splatterhouse ressemble dans son contenu à n'importe quel jeu d'action pour gamin, il faut se rappeler qu'à son époque il était considéré comme un titre extrêmement violent, gore et à échanger sous le manteau à l'abris du regard parental.
Ceci explique - à mon sens - le succès de ce jeu très surestimé. Car s'il on lui ôte ses 3 gerbes de sang et son personnage très inspiré par Vendredi 13, il ne reste qu'un gameplay sec à la difficulté indigeste, et où sauter par dessus une flaque d'acide avec ce personnage amidoné constitue déjà un obstacle de taille.