Étant gamin j'adorais ( et j'adore toujours autant ) tout ce qui touche à la science fiction , et lorsque j'ai découvert starwing sur la snes , ce fut un choc ! Je n'en revenais pas qu'un tel jeu puisse exister sur la snes , un jeu avec des polygones en 3d qui s'animent et en plus dans un space opéra ! Je n'en revenais pas , et encore maintenant je me demande comment un jeu comme ça a pu sortir sur la super nintendo , voyons tout ça à travers cette critique !
C'est donc en 1993 que sort ce jeu ( connu sous le nom de starfox aux USA et Japon ) et est un des premiers à intégré le puce super FX rendant alors possible l'affichage de modèle 3d à l'aide de polygone , chose complétement nouveau à l'époque , et surtout sur console . C'est bien beau de parler de la technique , mais qu'en est'il de l'histoire du jeu ? Starwing nous narre donc l'histoire du système solaire de Lylat habité par des êtres anthropomorphique ( animaux se comportant , parlant et s'habillent comme des humains ) et ou le diabolique scientifique Andross , banni sur la planète Venom à cause de ses expériences dangereuses par son ennemi le général Pepper , décide d'envahir le système solaire avec toute une armée de vaisseaux polygones et autres créatures polygones . Désespéré , Pepper fait appel à l'équipe starfox , une team de merenaires habitués au combat spatiale/aérien , composé de Fox Mccloud ( le leader et celui que l'on incarne ) , Falco Lombardi ( le pilote d'élite ) , Slippy Toad ( le mécano ) et Peppy Hare ( le doyen de la bande ) . Quatre garçon dans le vent prêt à en découdre pour botter les fesses d'andross et son armée à l'aide de leur vaisseau de combat polygones , l'arwing !
On entre au cœur du gameplay maintenant , le jeu est donc un rail shooter dans lequel on avance tout droit sans se poser de question et ou on tire sur tout ce qui bouge , l'arwing est équipé de rayon laser qui peut évoluer si on trouve des power up ( laser simple , puis double puis en boule d'énergie ) , il peut aussi utiliser des bombes intelligentes ( ou bombe de la mort qui tue tout en 8 ) et exécuter plusieurs tonneaux avec les gâchettes L et R , il peut même accélérer ou décélérer . notre team va devoir traverser plusieurs niveaux pour arriver jusqu'au bastion finale sur Venom , il ya cependant 3 itinéraires possible : un parcours facile , un normale et un difficile , 6 niveaux en facile et normale , 7 en difficile .Sans oublier aussi deux niveaux caché qui sont totalement WTF , chercher par vous même ou allez voir sur internet X) .
On avance dans le jeu assez rapidement mais on se heurte aussi rapidement à la difficulté , attention le jeu est plaisant mais aussi assez dur en soi ! Mais j'aime ce genre de jeu car il montre qu'il en a dans le ventre et propose un challenge intéressant ainsi qu'un bon replay value ( refaire 3 fois le jeu pour le terminer complétement ) .
Conclusion : vraiment un très bon jeu de la Snes , un des must have ( et il coute pas cher en plus ! ) , il se termine plutôt vite ( normale pour un rail shooter ) , en théorie , car la difficulté nous rattrape bien . Il reste une petite perle impressionnante pour l'époque et même encore maintenant .