Avant de commencer, il faut se rappeler que ce second jeu avait fait couler beaucoup d'encre avant même sa sortie, suite à des leaks qui avaient montrés tout ce qu'une partie des joueurs commençaient à craindre : Naughty Dog est gangrené par l'idéologie "Woke".
Ce second volet a d'ailleurs scindé la communauté de fans de cette licence en deux à partir de ce moment là.
Ceux qui nient cette influence dans cet opus sont clairement aveuglés ou dans le dénis tellement c'est présent. Mais on va revenir la dessus plus tard.
Alors que se e-t'il dans cette suite tant attendue?
Ben pas grand chose en fait. Littéralement.
Là ou le premier jeu nous faisait er dans plusieurs états américains afin d'emmener une petite fille immunisée contre des humains infectés par un champignon, les assimilant à des sortent de zombies dans un premier temps, puis à de véritables monstres par la suite.
Cette quête ayant pour but initial de l'emmener dans un endroit sécurisé afin de trouver un remède grâce à son immunité naturelle.
Le second jeu lui, commence par l'assassinat d'un des deux protagonistes principaux du premier jeu par les mains d'un du second.
Pour tuer un personnage iconique dont beaucoup de joueurs se sont attachés, il faut le faire avec un minimum de respect et d'attention.
Et déjà la, on a un problème : la mort de Joël est ridicule... mais ridicule...
Il faut imaginer la fameuse scène dans "The Walking Dead", ou Négan pulvérise des crânes avec sa batte de baseball, et remplacer cette dernière par un club de golf. Club de golf qui n'a, cela dit au age, aucun lien émotionnel avec la personne qui s'en sert, contrairement à la série mentionné précédemment.
La mort de ce personnage va alors animer Ellie, le deuxième personnage principal du premier opus, d'un sentiment de vengeance.
Et grosso-modo, le restant du jeu se contente de nous narrer cette quête de haine et de revanche.
C'est long. Beaucoup trop long pour un scénario aussi simpliste. Et dites-vous qu'ils l'ont écrit à plusieurs.
Ils utilisent des ficelles tellement énormes pour raccrocher les wagons avec le premier que ça devient risible.
Joël meurt des mains d'Abby, la fille d'un médecin que l'on voit 5 secondes à la fin du premier jeu. Vraiment.
Difficile de tout décrire tellement il y a énormément de choses qui ne vont pas, à tel point que l'on ne prette plus attention aux détails du scénario ou des décors, on ne fait que suivre la ligne directrice pour finir ce scénario insipide.
Et les rares fois où j'ai tenté de le faire, je me suis rendu compte que c'était rempli d'âneries qui vont même à l'encontre du jeu d'avant.
Je vais vous donner deux exemples relativement parlant : dans le premier jeu, les survivants galèrent à trouver de la nourriture, ils doivent même parfois recourir à la chasse.
Oubliez tout ça dans ce volet, Abby et son groupe de mercenaires, prennent des compléments alimentaires, font du sports et sont des bodybuilders (non, ce n'est pas une blague).
Deuxième exemple : à un moment donné, vous rencontrerez des personnages secondaires, dont l'un d'eux à pour préoccupation de changer de sexe.
Je répète, en pleine apocalypse "zombie", la préoccupation du personnage, c'est sa trans-identité.
Venez me dire après ça que Naughty Dog ne sont pas terminés, qu'on rigole un peu.
Bon voilà, je ne vais pas m'attarder sur le scénario plus longtemps, y a pas grand chose à dire. J'ai trouvé ça vraiment mauvais et j'espère qu'on n'aura pas de troisième jeu, mais dès qu'ils auront terminés de faire 90 remakes-remasters des deux premiers, on verra.
Côté gameplay, ça dit quoi?
Relativement fluide, quelques bonnes idées, malheureusement détruitent par de rares qui sont très mauvaises.
La pire étant, à mon sens, la possibilité de mettre des coup de poings aux infectés, ruinant une bonne partie de la peur ressentie et le côté "survival".
Cette volonté est d'ailleurs appuyée par les ressources trouvables en plus grande quantité que par le é.
On ressent aussi beaucoup plus le côté "couloir" dans celui-ci. Ça m'a fait sortir encore plus de cet univers sur le long terme.
Les musiques restent le gros point fort à mes yeux. Elles sont toujours de bonnes factures.
Pour conclure, "The Last of Us 2" aura été l'un des pionniers d'une période que l'ont traverse encore actuellement.
Chef d'orchestre d'un wokisme forcé et omniprésent jusqu'à l'overdose dont on va peut-être enfin voir le bout!