FILMS VUS EN 2025

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Woula, cette incroyable prétention de vouloir remplacer Die Hard au rayon des "films de Noël à grosses burnes" alors qu'on est au niveau crétinus de base !

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Nul mais "il y a quelque chose". Totalement culte lorsque j'étais ado. Normal, vu que ça ressemble à une bédé punk de Métal Hurlant, le genre Voss ou même Kebra Le Rat.

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Couillonnade d'aventure plein de clichés cyniques et très, très mal réalisée. Le grand requin mangeur d'homme est une simple roussette, sinon...

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Pas convaincu du tout de la nécessité de tirer un film de fiction du meurtre homophobe de Ihsane Jarfi en 2012 et encore moins convaincu par la façon "Frères Dardenne" (qui produisent) d'emballer l'affaire. 9 minutes vraiment hardcore, cela dit... Nauséeux!

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Complètement vain mais très amusant. Fun fun fun!

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C'était "bof" dans mon souvenir, ça l'est toujours. Je pense que cela ne fait d'ailleurs que la deuxième fois que je le vois alors que nous avons pourtant le même âge, haha.

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J'étais é assez à côté la première fois, sans doute aussi parce que j'ai du le découvrir sur une VHS à la location doublée en français. Cette fois, c'est la bonne : gros kif.

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God, que c'est ringard et que ça a encore plus mal vieilli que des trucs des années 60. Aucun intérêt!

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Bidon mais sympa. Quoi qu'il en soit oubliable...

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Il y a de l'idée et ça aurait donc pu être vraiment bien, cette affaire : dans la lignée de L'Invasion des Profanateurs et aussi zinzin qu'Event Horizon. Le souci, c'est que c'est bâclé et joué avec les pieds par une jolie ribambelle de têtes de cons, Donald Pleasance et Alice Cooper mis à part. Nanar et un remake bien trash et malade s'impose donc. Pan Cosmatos ferait ça fort bien.

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Bonne surprise ! Je m'attendais à du simple sous-Cronenberg (et je n'aime pas Cronenberg !) et c'est en fait une sorte de conte d'horreur morale comme on en écrivait au XIXème siècle parachuté dans l'ultra-modernité. Un bon point : c'est très très bien réalisé (en pompant bien Kubrick, Refn et Lynch, mais bon...). Un point en moins : la fin est quand même vraiment imbécile (mais fun). Un point polémique : je me trompe ou par moments, ça abuse quand même vraiment d'images générées par IA ? Qui répondra que ce n'est pas grave vu que ça accentue le côté toc clairement voulu n'a cela dit pas complètement tort. Un point de discussion sans fin : le côté satirique over-the-top était-il vraiment nécessaire ? Ca n'aurait pas été mieux en vraiment sérieux ?

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Exaspérant et ne sachant visiblement même pas quoi dire de son sujet.

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Sans vraiment trahir l'esprit du bouquin, c'est quand même un peu différent mais toujours fort bien. Robert Ryan est vraiment en super en Claggart, plus crapuleux que dans le livre.

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ZE classique du film d'enquête cochonnée par des flics abusifs. Toujours un plaisir!

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Chaque fois que je le revois, après chaque fois en avoir oublié les 3 quarts, je me redis que c'est complètement con. Je laisse tomber pour cette vie, c'est la dernière :)

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Caméra tremblante à en donner le mal de mer, scénario auquel je n'ai pas tout compris à cause de sous-titres foireux (ou d'une écriture expéditive?) et graves castagnes aux ustensiles de cuisine et à l'os de boeuf. Moins bien que l'impeccable Chaser et que le oufissime Strangers du même mec mais pas mal quand même. Surtout vu la nuit en pleine insomnie.

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Scénario exemplaire pour un film à l'influence énorme qui aurait peut-être juste pu être mieux réalisé et joué par de meilleurs acteurs; histoire de vraiment tenir de l'indiscutable chef d'oeuvre.

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Imbécile.

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Pas mal mais quand même pas non plus ultra-convaincant, surtout la fin. Sale ambiance, bonne ambiance mais un peu kitsch quand même (le grand angle dans les scènes à Abou Gharib, notamment).

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Historique (le tout premier Polanski) mais ennuyeux, oui oui.

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Vieillot mais fort bien! Gros plaisir sapiosexuel : que d'intelligence dans le propos, l'ambiguïté, l'humour...

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Polar cousu de fil blanc (le flic tendu comme un string, la doctoresse sexy, le serial killer "thématique"...) dans un Vienne de 1920 de pacotille qui doit plus aux esthétiques de 300 et Sin City qu'à "l'expressionisme" annoncé sur la jaquette. Pas tout à fait nul mais très oubliable!

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Solaris + Hellraiser = Event Horizon = nanar fun!

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Très laid, très con, pas assez violent. Le côté Jack Sparrow du méchant n'arrange rien. Bring back Mel Gibson, Humungus et les nains à tronçonneuses!

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A part faire du pied aux Américains en montrant la maîtrise certaine de Jimenez, à quoi sert exactement ce film?

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Donald Westlake adaptant Jim Thompson, dans les années 70, tourné par un dur à cuire de la série B ricaine, ça aurait sans doute eu de la gueule. 1990, c'est trop tard (ou trop tôt, vu que seulement deux ou trois ans plus tard, ça allait bien repartir dans le genre). Annette Benning est juste chiante, la musique soulignant son espièglerie inable et John Cusack joue comme un flan; sans parler du maffieux auquel on ne croit pas une seconde. Seule à survivre au désastre (spoiler attack : dans tous les sens du terme) : Anjelica Houston. And the winner is... l'ennui.

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Bidon. Complètement.

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Sorte de rejeton Netflix donc neuneu de ce que le polar coréen faisait de plus tendu et ambigu dans les années 2000/2010 (Chaser, I Saw The Devil, etc...). La violence en moins, le happy ending (en quelque sorte) en plus. Sympa mais très oubliable.

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Le meilleur Coen Brothers "comique" de leur XXIème siècle. Fun!

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Deuxième vision et ça reste tout de même l'un des films les plus WTF du catalogue Netflix que je connaisse, comme si le Nicolas Cage des nanars de baston était soudainement parachuté dans un scénario occulto-goth-folk horror de la Hammer déclinante des années 70. Pas mal et ça aurait peut-être été bien mieux (niveau Ravenous, quoi) si l'acteur principal ne jouait pas comme une courge.