Films vus en 2025

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Vu en janvier - en direct sur 3.

Étonnant western de John Huston qui m'intriguait bien et avait le bon goût de pouvoir occuper mon 1er janvier. C'est une sorte de western picaresque autour de la figure du juge Roy Bean, personnage de l'Ouest que l'on connaît bien grâce à un album de Lucky Luke qui lui a été consacré.

Paul Newman incarne donc cet ancien criminel improvisé juge et qui occupe un palais de justice/saloon, et à qui il arrive pas mal de trucs improbable, notamment une rencontre avec un ours, et une fin où le personnage se bat contre la modernisation du pays dans une dernière fusillade flamboyante.

Ce qui est intéressant, c'est que le film est écrit par John Millius, réal de Conan le Barbare et scénariste d'Apocalypse Now assez connu pour sa ion des armes à feux et ses opinions conservatrices/nihilistes, et dont le juge Roy Bean pouvait faire un excellent sujet d'étude, mais on sent que John Huston voulait faire un truc plus humoristique (voir cette scène de pique-nique avec un ours) et léger.

Le résultat est assez étonnant par moment, mais pas inintéressant, Paul Newman est bien dans son perso et le final est assez fun à regarder, même s'il y a un ventre mou en second tier de film. Une découverte intéressante, donc.

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Vu en janvier - au cinéma.

J'ai vu ce film un peu au hasard, et aussi parce que j'avais une vague idée de ce qu'était le travail d'Andrea Arnold, et que ça pouvait m'intéresser. Et au final, c'est plutôt cool, on y suit une jeune ado issue d'un milieu ultra pauvre en Grande Bretagne, et qui aide un type mystérieux à retrouver sa famille. Y a de beaux portraits de persos improbables, une utilisation étonnante de la trottinette électrique, une irruption étonnante du fantastique en fin de film, et une excellente musique de Burial. Plutôt pas mal pour reprendre l'année ciné.

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Vu en janvier - au cinéma.

Petite comédie noire de Dubosc à la Fargo, assez fun à regarder, avec pas mal de bonnes situations et surtout des plutôt bons acteurs (Laure Calamy, Benoit Poelvoorde, etc.). En tout cas j'ai pas é un mauvais moment. Étonnamment, le lobbying pro-Dubosc dans les podcasts de kamuirobotics a fini par m'avoir.

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Vu en janvier - au cinéma.

J'avais des places à absolument utiliser avant une date précise, et comme aucun film ne m'intéressait cette semaine là, autant aller voir une comédie qui a connu un bon succès et qui était encore à l'affiche. En tout cas, on a là un film assez réjouissant, où un chef d'orchestre plutôt bien né découvre l'existence d'un frère caché venant d'un milieu bien plus populaire, mais qui a une certaine oreille musicale. Une bonne comédie de différences de classes en tout cas, très bien faite, et vraiment sympa à regarder, donc je ne saurais que trop la conseiller, c'est vraiment l'occasion de er un bon moment devant une comédie.

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Vu en janvier.

Je continue cet enchaînement de comédies françaises, de manière assez surprenante, avec ce classique de Poiré. J'ai toujours rêvé de le voir un soir de réveillon sur une chaîne publique, mais j'ai pas eu l'occasion cette année, donc autant regarder le dvd à disposition. Et c'est vraiment un film plutôt chouette, il y a de bonnes situations, des personnages assez drôles et exagérés. Gérard Jugnot en père noël crevard est assez génial, Thierry Lhermite et Anémone en pseudo-couple coincé aussi, et au final un film plutôt fun, ce qui m'étonne de la part de Poiré, pas forcément mon réal préféré, mais auteur de quelques projets filmiques assez diaboliques.

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Vu en janvier - sur FilmoTV.

J'ai eu envie de tester le service vod Filmo qui propose pas mal de choses intéressantes, et j'ai donc regardé ce mystérieux film sur une affaire de sorcières au moyen-âge dans le Pays Basque. Je pensais vu le titre que ce serait un truc de folk-horror avec des sorcières, mais pas du tout, c'est plutôt un film historique qui se centre donc sur les procès et tortures qu'ont subit des jeunes femmes accusées de sorcelleries. C'est plutôt intéressant, j'en garde pas forcément un souvenir impérissable, mais ça se laisse regarder sans que ce soit forcément ce qu'on en attende.

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Vu en janvier - sur Ciné+OCS.

Le cycle comédie française reprend avec un des classiques de Michel Blanc, Marche à l'ombre où il est en duo avec Gérard Lanvin, deux mecs perdus et pauvres qui arrivent à Paris. Bon, la principal qualité du film, c'est son duo de personnages complètement opposés qui est assez fun, mais il faut reconnaître que les gags sont un peu répétitifs au bout d'un moment. C'est sympa, mais pas incroyable au final. Après, ça reste intéressant de découvrir cette ambiance de des années 80 quand on l'a pas connue.

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Vu en janvier - au cinéma.

La bande annonce donnait envie de se plonger dans cette histoire tragique du Brésil sous la dictature dans les années 70. On y suit la famille d'un ancien député, et notamment l'arrestation puis la disparition de celui-ci. Et tout est du point de vue du reste de la famille, qui ne comprend pas ce qu'il s'est é, ce qu'il est devenu, s'il avait des activités clandestine, etc. Et c'est vraiment très bien fait, l'angle familiale (et donc surtout de la femme du député qui sert de personnage principale) est vraiment intéressant, la plongée dans cette période sombre du Brésil et ses conséquences sur l'histoire politique du pays également, et tout est porté par de bons acteurs et actrices.

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Vu en janvier.

Le cycle comédie française reprend avec un film plus récent: la suite de Kaamelott en film (alors que je n'ai toujours pas vu la saison 5 et ait vu la saison 6 y a facilement plus de 10 ans). Bref, on retrouve donc les personnages qu'on connaît bien pour donner suite à cette intrigue, en faisant un mélange de petits moments aventureux/épiques, avec des sketches un peu plus classiques comme à la grande époque de la série. Bon, ça fait plaisir de revoir les personnages, mais c'est toujours un peu les mêmes gags basés sur le fait que les gens intelligents gouvernent mais sont entourés d'idiots. Bref, rien de très nouveaux, mais ça se laisse regarder plutôt bien, surtout après avoir attendu après la surhype qu'il y a eut.

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Vu en janvier - dans le cadre du ciné-club local.

J'avais jamais vu de Fellini, j'y connais pas grand chose sur la vie de Casanova, mais autant essayer ce film. Et c'était extrêmement déconcertant, d'autant plus que ça dure 2h30. Et puis il faut se retrouver avec un film dont le rythme est fait d'un enchaînement de saynètes, ce qui est vraiment surprenant, mais fonctionne assez mal sur une durée aussi longue. D'autant plus que le casanova du titre est un peu une ordure (mais ça a l'air d'être le propos du film). Après y a quand même des séquences qui marchent visuellement, je pense à cette scène de sexe avec l'automate qui est hyper glaçante. Bref, c'est un film compliqué à regarder dans un état de fatigue avancée, mais à part ça je n'ai pas été marqué plus que ça.

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Vu en février - sur Paramount+.

Ça faisait longtemps que je voulais revoir ce Spielberg, que j'ai du voir sur un dvd emprunté au vidéo-club il y a facilement plus de 15 ans, et dont mon seul souvenir et cette scène où Tom Cruise et sa fille sont coincés dans un sous-sol à esquiver le bras-tentaculaire d'un tripode.

Et c'était étonnamment très plaisant à regarder. On a là un gros blockbuster qui n'hésite pas à y aller dans la destruction de masse désespérée, c'est assez fou de voir ça. C'est quasiment un film de kaiju à l'américaine. C'est évidemment très bien mis en scène, la photo est très belle, et met en valeur les sourires ultra-bright de Tom Cruise (qui ne sourit plus beaucoup après une vingtaine de minutes de film). Et le film est bien rythmé et arrive à tenir en haleine sur un bon moment, c'est franchement assez plaisant à regarder. Par contre, je suis pas hyper fan de la séquence dans le tripode qui me paraît un peu trop grotesque. Mais franchement, une bonne redécouverte.

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Vu en janvier/-février - sur Arte.

Très heureux d'enfin découvrir ce monument du cinéma qui dure 7h !! Évidemment je l'ai vu en plusieurs fois, mais c'était vraiment fascinant. Déjà, c'est un film des années 60 qui semble terriblement en avance sur son temps, d'un point de vue visuel, il est toujours très impressionnant, et se permet de faire des plans qui on l'imagine, avaient pour but de montrer la supériorité des soviétiques sur les américains.

Et l'histoire de Guerre et Paix, bien que parfois un peu longue, et que j'ai eu de la confusion concernant les personnages, est toujours très bonne à suivre. Voir Pierre Bezhoukof se balader sur un champ de bataille avec ses réflexions existentielles, le premier bal de Natasha (probablement ma séquence préféré), la fuite de Moscou, est vraiment ionnant. Un film monumental et remarquable qu'il est vraiment intéressant à regarder.

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Vu en février - via la médiathèque numérique.

Je continue les films longs, et je retourne dans le cinéma français avec un des gros blockbusters de l'année dernière que j'ai raté en salle, surtout parce que j'avais pas envie de voir les Trois Mousquetaires bis. Et heureusement, c'est très différent. Déjà, on a pas l'esthétique crasseuse, ni les filtres oranges, ni de bastons avec shaky cam, et pas d'attentats de moines conspirationnistes (quoique c'est probablement le genre de truc que j'ai du aimé).

En fait, je n'avais jamais lu ce roman de Dumas, et je savais juste qu'il y avait une histoire de vengeance. Et c'est pour le coup très bien mené, les différentes péripéties s'enchaînent bien, on sent le côté feuilleton de l'oeuvre original, et le film a un côté romanesque assez plaisant, avec tous ses personnages, cette histoire de vengeance, d'évasion, de masques, et de trésors des templiers. Et c'est porté par de plutôt bons acteurs, Pierre Niney est convaincant, et j'apprécie toujours voir Laurent Laffite en méchant. En bref, un très chouette film français, et à raison.

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Vu en février - sur Filmo.

J'avais une énorme curiosité sur ce Scorses qui, même en étant un film de commande, reste son seul avec Tom Cruise. Et qui plus est, dans un film purement 80's (une intrigue entre un jeune ambitieux et un vieux mentor, typique de cette époque, et le film se termine sur un freeze frame, il manque juste un montage sur un tube).

Mais étonnamment, alors que j'avais du mal à rentrer dedans, le film est devenu étonnamment très cool à regarder. On sent que Scorsese s'amuse à la réalisation pour montrer les escroqueries et les parties de billard, et que le personnage de Newman qui cherche la rédemption l'intéresse. Bref, une plutôt bonne surprise en ce qui me concerne.

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Vu en février - sur Ciné+OCS.

Autre film sur le juge Roy Bean (que vous pouvez voir dans le treizième tome de Lucky Luke) dans une intrigue avec Gary Cooper qui fait sa rencontre et doit apaiser les tensions entre les éleveurs et les fermiers dans sa ville.

C'est pas désagréable à regarder et plutôt limpide pour un film des années 40, les personnages sont plutôt intéressants, surtout que Cooper est plutôt en forme dans son rôle. C'est pas le Wyler que je préfère, mais c'est plutôt sympa comme western.

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Vu en février - sur Ciné+OCS.

Le premier grand film avec Bruce Lee en vedette est assez amusant à regarder. Notre héros vient en aide à une sorte de famille éloigné en allant bosser avec eux dans une usine, et en découvrant que les propriétaires font du trafic de drogue, et tue leurs travailleurs gênants, va se mêler de tout ça. Même si le côté social simpliste peut-être intéressant, ça reste avant tout un film avec de la bagarre, et c'est en tout cas de ce point de vue là très réussi, même si je pense que le film a peut-être duré un peu trop longtemps hors des scènes de bagarres.

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Vu en février - sur Filmo.

J'avais entendu parler de ce film sur les réseaux sociaux, et c'est vraiment un projet assez fascinant : recréer l'humour absurde d'un cartoon type Looney Tunes dans un film live à petit budget, et qui rend hommage aux vieux jeux vidéo.

Le principal problème du film, c'est qu'on sent que sa première moitié a été faite à part, avec un budget tout autre. C'est drôle, mais certains gags deviennent assez répétitifs. Par contre, la seconde est assez folle d'inventivité des situations, et nous fait vivre un sacré voyage. Qui aurait cru qu'un film sur un trappeur perdu dans la neige qui doit chasser des castors serait aussi ionnant ?

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Vu en février.

À la fin du visionnage, j'ai pensé que j'avais adoré ce film, mais que j'exagérais sans doute. Une semaine plus tard, l'enthousiasme en pensant à ce film est toujours là, et je suis maintenant persuadé qu'il s'agit d'un chef d'oeuvre du cinéma d'action. J'écoute la musique en boucle, je me refait les séquences marquantes sur youtube, etc.

Pourtant, Vikram, c'est une intrigue autour d'une enquête autour du meurtre de plusieurs flics, faite par une cellule top secrète mené par le génial Fahadh Faasil. Au cours de l'enquête, il découvre qu'un des meurtres était une mise en scène de la part de Kamal Haasan (une vieille légende du ciné tamoul) qui enquête sur le meurtre de son fils par des flics corrompus et un chef de gang trafiquant de drogue interprété par le fabuleux Vijay Sethupathi.

Au bout d'un moment, le plot est confus, les liens avec le film Kaithi du même réalisateur sont pas les plus évidents à capter, mais dès qu'on entre dans la partie action, le film devient complètement fou, les musiques du prodige Anirudh qui partent en electro dubstep donnent une ambiance survolté aux scènes de baston, la caméra voltige dans des longs plans réalisés au mocobot, on est toujours surpris par l'action dans ce film.

Malgré un scénar pas toujours clair, on a probablement l'un des films d'actions qui m'a le plus enthousiasmé ces derniers temps. Difficile de ne pas le recommander.

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Vu en février - sur Filmo.

Après pas loin de dix ans d'attentes, je regarde enfin ce Shin Godzilla, et j'en suis fort heureux. Godzilla débarque en ville, et plutôt que d'y suivre de la pure destruction, Anno et Higushi choisissent d'aborder le sujet en suivant le gouvernement japonais et ses différentes strates, leurs réactions, leurs solutions, etc.

C'est assez particulier puisque ça demande de suivre un nombre assez ahurissant de personnages, et qu'il a été choisi de ne pas traduire tous les textes qui apparaissent à l'écran (qui on se doute, introduisent les noms et fonctions des personnages, même si je pense que parfois on a carrément des trucs d'otakus, comme le détail des munitions utilisées, ou des noms de véhicules, qui seraient plus dispensables). Ça empêche pas de suivre le film, mais on rate peut-être un élément de l'absurdité bureaucratique de la situation.

Je reproche aussi au film, mais c'est dans son propos, d'avoir peu de personnages auxquels s'attacher, à l'inverse d'un Shin Ultraman qui arrivait à nous faire nous attacher à ses héros.

Mais à part ça, ça reste un film vraiment chouette à regarder, le design de la créature est réussi, et comme souvent dans les Godzilla, j'aime les plans où tout le monde se met d'accord pour trouver une solution et battre le kaiju. Une belle réussite donc, même si j'en attendais peut-être un peu trop.

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Vu en février - sur Filmo.

Très heureux d'enfin découvrir cette adaptation. J'avais pas du tout été hypé à sa sortie ciné, mais maintenant que ça fait longtemps, je peux regarder ce film à tête reposé. Et c'était une parfaite adaptation du tome 1. Malheureusement, on e un peu à côté des autres tomes, il y a au moins une restitution fidèle de la poursuite du tome 2, et de la base du tome 3 (qui gagne une esthétique gigerienne du plus belle effet), mais on perd un peu tous les petits moments de respiration du récit, le côté décousu de certains ages, ce qui est un peu dommage.

Mais ça regorge de plutôt bonnes idées, et ça reste assez satisfaisant à regarder pour un film d'animation de cette durée.

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Vu en février - sur Ciné+OCS.

Je continue mon incursion en cinéma français avec une romcom dans le milieu des mathématiques à l'université. C'est globalement fun à regarder, les personnages sont plutôt attachants, et on se laisse prendre par ce film vraiment sympathique avec un casting efficace. En plus, il y a des scènes de parties de Mah-Jong (celui qui se joue à 4), ce qui me fait forcément plaisir.

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Vu en février - sur Ciné+OCS.

La ion pour les films français continue avec cette petite comédie un peu fantastique qui suit Karim Leclou, qui se fait un jour agressé à son bureau, et découvre que toutes les personnes dont il croise le regard vont tenter de le tuer. S'en suit une intrigue un peu d'autodéfense, mais aussi une romance avec Vimala Pons. Bref, on a là un film qui mélange pleins de trucs, mais c'est vraiment fun à regarder, on a une bonne ambiance parano à la Romero/Carpenter, ce qui me fait plaisir à titre perso.

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Vu en février - au cinéma.

P'tit film sur Jesse Eisenberg et Kieran Culkin qui font un voyage de mémoire en Pologne pour retrouver la maison de leur grand-mère. C'est donc un film assez délicieux à regarder puisque basé essentiellement sur les prestations des deux acteurs principaux, et à leurs dialogues. C'est dans l'ensemble une comédie dramatique, donc on e par pas mal d'émotions différentes très bien retransmises par les interprètes, y a vraiment un énorme travail de leur part à ce niveau là. Et sinon, ça reste un film très agréable à regarder, et vraiment amusant.

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Vu en février - sur Disney+.

Ça fait longtemps que j'avais pas vu de Marvel, et voilà qu'on a un tv spécial qui introduit ledit Werewolf, Elsa Bloodstone, et Man Thing dans l'univers Marvel. Et sans surprise, c'est vraiment naze, y a une tentative d'avoir une ambiance sympa qui rend hommage aux classiques de l'horreur d'Universal, mais c'est jamais très prenant, et y a une mollesse dans la mise en scène qui ne permet jamais de rentrer dedans.

On a l'impression que personne n'y croit, Man-Thing est peu convaincant en termes d'effets spéciaux, le loup-garou du titre non plus, et tous les persos secondaires ne sont pas assez premier degré pour donner l'impression d'être dans un nanar. Bref, décevant à tous les niveaux, difficile d'avoir de la sympathie pour ce film.

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Vu en février - sur Disney+.

Petit court-métrage avec Mickey vu pour rattraper la soirée désastreuse qui allait avec Werewolf by Night. On a donc 8 minutes de pure animation, avec des persos qui bougent bien et ont des attitudes très exagérées (le fameux "rival" est assez incroyable en ce sens). Une bonne découverte en tout cas !

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Vu en mars - sur Netflix.

Deuxième chef-d'oeuvre de l'année, et encore un polar d'action indien. Leo est une sorte de remake assumée de History of Violence, mais avec Thalapathy Vijay en héros d'action, dont l'ancien gang de trafiquants de drogue le rattrape dans sa petite ville tranquille.

Comme Vikram, c'est un film de Lokesh Kanagaraj (et qui appartient à son univers partagé avec Kaithi) qui montre encore une fois une maîtrise dans le rythme, l'action, et l'inventivité de la mise en scène. Ça frôle parfois le mauvais goût (cet aigle en 3D qui vole au milieu d'une baston probablement filmée au drone, le plan séquence de poursuite en cgi dégueu) , mais on a toujours un énorme plaisir à voir ces types se taper dessus de manière impressionnante. Anirudh régale encore à la BO pour un excellent divertissement. Je reste peut-être plus friand de certaines bastons de Vikram, mais ce Léo ne démérite clairement pas et reste un excellent film d'action.

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Vu en mars - sur Filmo

J'ai pour ambition dans la vie de trouver les meilleurs films possible de sword and sorcery, ce sous-genre de la fantasy qui peut se résumer à tout ce qui émule de près ou de loin Conan le Barbare. J'ai déjà vu le maître étalon du genre, ainsi que le fantasque et invraisemblable Conquest, série quasi-Z du génial Lucio Fulci, et voilà que je tombe sur ce The Sword and the Sorcerer, aka L'épée sauvage, premier film d'Albert Pyun, qui semble avoir é le reste de sa carrière à faire des séries-B/Z improbables à tendance cyberpunk et kickboxing.

On a donc là un film assez étonnant, qui ne comporte aucune star, et dans lequel on suit un mercenaire costaud mais tout basique armé d'une épée à trois lames (qui servent également de projectile) qui cherchent à sauver une princesse et son frère, aux prises avec un seigneur diabolique allié à un sorcier maléfique.

Le gros problème, c'est que scénaristiquement, c'est inintéressant, les personnages sont globalement nazes, et l'univers qui pourrait paraître intéressant est loin d'être aussi fou que ce qu'il y paraît. À noter que le protagoniste n'a rien d'héroïque et est juste là pour se taper l'héroïne sans même se poser plus de question (en se fichant de son consentement bien entendu). Je pense comprendre la volonté de proposer un anti-héros pour être original et ne pas proposer un truc hollywoodien classique, mais dans ce contexte ça ne marche pas du tout, d'autant qu'aucun personnage n'est attachant.

Et puis évidemment, les bastons sont pas incroyables, mais le côté série B garde un petit charme. Voir tous ces seconds rôles à carrure et chevelure invraisemblable reste réjouissant, personne ne joue vraiment bien, mais on ne peut s'empêcher de sourire en voyant leur trogne sorties d'une dimension parallèle.

Et je reste complètement charmé par l'esthétique de ce film, les épées sont clinquantes, on se bat dans d'affreux dédales souterrains de souverains malfaisants, et le film démarre sur une scène d'invocation de sorcier absolument incroyable, avec des visages d'abord figées dans la pierre qui commence à se muer et à devenir vivant (je me demande si ça n'a pas possiblement inspiré quelques tableaux de la célèbre Eclipse des tomes 12 et 13 de Berserk).

Pas le meilleur film du monde, une intrigue naze et des persos pas attachants, mais une ambiance de nanar réjouissante et une esthétique suffisamment réussi pour garder l'oeil intéressé pendant le visionnage.

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Vu en mars.

Toujours un énorme plaisir de découvrir un nouveau Tsui Hark, surtout un film de sa grande époque. On y retrouve donc Jet Li en Wong Fei Hong qui se retrouve aux prises avec la secte du lotus blanc, sorte de groupe nationaliste Chinois qui essaie de dégager les colons et surtout s'attaque aux personnes occidentalisées.

Comme souvent chez Tsui Hark, il y a des petits moments de confusions dans le plot, mais quel plaisir énorme de retrouver ses personnages virevoltants lorsqu'ils se battent, de voir Jet Li et Donnie Yen se taper dessus, avec des chorégraphies toujours très inventives de l'excellent Yuen Woo-Ping. Et il y a aussi ces ruptures de tons avec un peu de gag, un peu de comédies romantiques qui amène une hétérogénéité bienvenue dans ce genre de film.

C'est pas forcément mon film de kung fu préféré, mais sur le moment, j'ai pris un énorme plaisir à voir celui-ci.

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Vu en mars - au cinéma.

Retour au cinéma pour voir le nouveau Bong Joon-Ho, 6 ans après Parasite, son nouveau classique. Et ça fait plaisir de voir un film de science fiction, c'est globalement bien construit et très prenant à suivre (surtout la première partie), c'est assez drôle, et on a globalement de bons acteurs, avec en plus de chouettes concepts de sf qui viennent nourrir toute l'intrigue. Y a quelques intrigues secondaires laissées de côté malheureusement, et je trouve que le dernier acte est peut-être un peu longuet (comme dans 3/4 des films avec moi), et je regrette la photo trop sombre en intérieur qui m'a un peu saoulé vers la fin du film.

Mais à part ça j'ai é un bon moment.

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Vu en mars - sur Ciné+OCS.

J'ai un étonnant intérêt pour la filmographie de Tony Scott, et j'avais bien envie de voir son premier film : Les Prédateurs est un film fantastique où l'on suit David Bowie et Catherine Deneuve qui incarnent des vampires et font la rencontre de Susan Sarandon.

Sans grosse surprise, j'ai pas l'impression que Scott se ionne vraiment pour son intrigue, mais plus sur ses visuels, qui font très pub et vont probablement cimenter l'esthétique des années 90 (je pense à cette incroyable scène d'agression en patin à roulette). Bref, c'est un beau film dans lequel il ne se e pas grand chose. Pour tout dire, j'en ai pas un énorme souvenir, mais ça restait pas désagréable à regarder.