Films vus en Mai 2025

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Cronenberg signe un récit auto-biographique bouleversant, traversé de séquences romantiques parmi les plus belles qu'il ait jamais filmées.

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Comme la chose est impossible à décrire, mieux vaut utiliser les comparaisons...
A MINECRAFT MOVIE, ce serait un peu le bâtard moche et débile issu d'un gang-bang contre-nature entre WARCARFT (2016), LE MONDE (PRESQUE) PERDU (2009) et JUMANJI: BIENVENUE DANS LA JUNGLE (2017), filmé par le Robert Rodriguez de SPY KIDS (2001).
Forcément qu'il se ferait dézinguer et que personne ne pouvait comprendre.
Mais c'est er sous silence la brillante idée, kamikaze, de confier le volant de cette Rolls Royce (sur le papier : une mine d'or... mais inadaptable) à un azimuté de la trempe de Jared Hess (NAPOLEON DYNAMITE, SUPER NACHO, GENTLEMEN BRONCOS, LES CERVEAUX) qui décide de réaliser un Nanar MAJUSCULE (c'est un festival, une leçon magistrale) à 150 millions de dollars de budget...
Et donc, le mec réussit à vendre le projet, à aller au bout de son délire en restant cohérent, puis se fait déglinguer par 99,9% de la critique, 90% des spectateurs "non joueurs" de plus de 15 ans, mais parvient à engranger plus de 700 millions de brouzoufs au box-office.
Jared Hess, tu es un génie !
La hchouma pour Eli Roth ?!

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Mottola réussit une nouvelle pépite de "Coming of age" avec cet aigre-doux ADVENTURELAND (2009).
Postulant sérieux à la première place du Top du genre de la décennie de sa sortie.
Le casting est formidable. La B.O. défonce tout, la photographie enchante... allez, pour chipoter on dira que tout cela est un peu trop prévisible (mais c'est ça qui est bon) et que parfois la caméra tremblotte inutilement, mais c'est vraiment pour lui trouver des poux.

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Un bonbon acidulé décidément très agréable. On ne s'en lasse pas.
Olivia Wilde signe un 'Feel Good Movie' dans la grande tradition du DAZED & CONFUSED de Richard Linklater. Comme chez lui, on a envie de traîner avec tous ces gens, au moins pour une soirée.
Ça fait du bien.

Révision à l'identique

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Je le savais.
J'aurais dû me faire confiance et aller le voir en salle.
Le problème du film, c'est que tout le monde le compare à FARGO. Tout ça parce que son créateur a évoqué le cinéma des frères Coen dans son ensemble.
Je trouve la comparaison à FARGO hors sujet mais ce n'est que mon avis.
Pour moi, il y aurait beaucoup plus matière à le comparer à UN PLAN SIMPLE.
Bref, de toute façon, dans les 2 cas, la comparaison n'est évidemment pas à l'avantage de Dubosc. Forcément. Mais tout de même... des scripts comme UN PLAN SIMPLE, il y en a eu des centaines dans le cinéma américain et même européen. Et en tant qu'ersatz, il me semble qu'UN OURS DANS LE JURA tient plutôt bien la route.
Mais je ne suis pas objectif, j'adore Poelvoorde et il est absolument parfait ici, une fois encore (barres de rire en cascade).
La mise en scène de Dubosc fait illusion, la photo' est appliquée, le casting multiplie les bons points en rattrapant une écriture parfois succincte ou caricaturale, et même si les scénaristes auraient pu aller plus loin, même si le Noir de ce Film Noir est plus gris anthracite que noir de jais, la surprise reste agréable, non seulement dans le cinéma français contemporain mais encore plus de la part de... Franck Dubosc.

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Affreux, sale et méchant.

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Le monde se divise en deux catégories, ceux qui aiment DOCTOR SLEEP et ceux qui ne comprennent pas pourquoi SALEM'S LOT cuvée 2021 s'est fait mettre au placard.
Entre les deux, mon choix est pourtant vite fait.
Je choisis le mal-aimé.

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J'ai une affection certaine pour cette chose...
Le savoir-faire Hollywoodien en matière de comédie d'action est indéniable même si depuis quelques temps, en plus de tourner à vide, les représentants du genre semblent robotisés, sans âme, à force de scripts bâclés, de fonds verts hideux et d'acteurs karchérisés.
KEEPING UP WITH THE JONESES est peut-être l'un des derniers, sur le mode des "voisins espions" (sous-genre plus prolifique qu'il n'y paraît) à être mis en scène par un type qui croit encore un tant soit peu à ce qu'il fait, avec un directeur photo' qui assure, qui filme sur pellicule et qui n'abuse pas des fonds verts.
Et puis le casting fonctionne bien. Gal Gadot faisait encore illusion...
Bref, ça fonctionne à chaque révision... en tout cas, sur moi. C'est nul, c'est facile, paresseux en un sens, mais c'est efficace et ça me plaît bien.

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Graphiquement réussi, le dernier Sandberg multiplie les vols à l'étalage dans une succession de petits courts-métrages enthousiasmants (comme autant d'hommages à ses racines), car c'est précisément là qu'il puise sa force : son savoir-faire et son bon goût.
Quitte à piller, autant que ce soit dans les plus grandes bijouteries.
Et tout y e. C'est un vrai condensé du cinoche horrifique des 25 dernières années.
Évidemment, personne n'a rien à dire et le scénario est absolument imbitable voire incohérent. Après tout, la chose est adaptée d'un jeu vidéo ultra référentiel et complétement creux comme la grande majorité des jeux vidéos contemporains, qui ne fonctionnent qu'aux citations et au pillage des codes cinématographiques et des films cultes du siècle dernier (dont les créateurs de ces jeux sont fans). Le script a beau avoir ni queue ni tête, le serpent se mord quand même la queue.
Mais, même sans narration cohérente, le programme reste fun et ludique.
Commencer UNTIL DAWN, c'est comme ouvrir une boîte de chocolats (de supermarché) : on ne sait jamais sur quoi on va tomber (à la scène d'après).
Et finalement entre ESCAPE GAME, SILENT HILL 2 ou LA CABANE DANS LES BOIS (quelle horreur ?!), j'opte pour UNTIL DAWN. Au moins, il y a un réalisateur au sens visuel aiguisé, aux commandes. C'est toujours ça de pris.

Annotation :

Meilleur que ce que j'en lis, même si je conviens qu'INVISIBLE MAN était plus réussi.
Sans l'erreur de casting majeure de Julia Garner, il aurait même mérité plus.

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La seule "adaptation Live" de Disney qui vaille la peine jusqu'à présent.

Révision à l'identique

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Conforme aux souvenirs = bien mieux qu'il n'y paraît.

Révision à l'identique

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Ce sera sûrement ma plus grosse déception de l'année.
Il faut que je digère... et que je le revoie, à tête reposée.

[ salle ]

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Les vacances de Ritchie au royaume de la SVoD continuent.
Cette fois, toute la famille est conviée, pour une resucée familiale de BENJAMIN GATES.
C'est trop long (comme d'habitude aujourd'hui) pour ce que ça raconte.
Certains seconds rôles font tapisserie (c'en est gênant) mais Natalie Portman fait le boulot (le chèque devait être bien juteux) et Eiza Gonzalez arrache (mamma mia).
La B.O., les scènes d'action, les dialogues, tout est bien formaté, rien ne dée.
C'est parfois amusant.
Ça reste toujours mieux que le précédent Ritchie : LE MINISTÈRE DE LA SALE GUERRE (sans guerre) ou que RED NOTICE, dans un registre similaire.

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Révision à l'identique

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FLIGHT PLAN dans une ambassade.

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Révision à la légère hausse

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Révision à la légère hausse

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Une bande originale de film Marvel (qui fout évidemment tout par terre) sur un film d'action gore.
Il y en a qui ont des idées bien moisies, quand même !

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Révision à la baisse

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Et c'est un grand fan du cinéma récréatif de Christopher Landon qui note...