La déglingue en 2025 ! (séries)

Annotation :

Janvier

Saison 4 : 9/10

On continue à bon rythme cette série haletante, qui m'a surpris cette saison en faisant le pari d'une forme de réconciliation qui recentre la série sur son petit groupe de machos relous, continuant de tracer le sillon de personnages nuancés.

Annotation :

Saison 5 : 7/10

J'arrive mieux à accepter les défauts de la série (gore facile, rythme un peu trop soutenu) à mesure qu'elle clarifie son positionnement politique, dont je trouve qu'il lui donne une vigueur dans le propos qui se noyait un peu dans l'edginess au début.

Annotation :

Saison 4 : 8/10

Petite descente après une fin de saison 3 en apnée, mais la série est toujours aussi efficace pour faire progressivement monter la tension, et sait donner suffisamment d'importance aux personnages pour que l'on se sente impliqué émotionnellement.

Saison 5 : 6/10

Comme je l'ai lu sous la plume de @Oazard, la série se fait malheureusement manger par le personnage de Malotru sur sa fin, et perd de ce fait beaucoup de son intérêt. Certains arcs sont conclus, d'autres non. En somme une conclusion insatisfaisante.

Annotation :

Ça commence comme l'intéressant portait d'un inadapté social qui a trouvé en internet son moyen de connecter avec le monde, et ça devient vite une immense promo pour ses différents projets, avec un retour critique ou même simplement analytique inexistant. Reste un montage efficace, et un gars vaguement attachant.

Annotation :

Mai

Saison 1 : 8/10

Une chouette série pile dans mes intérêts et portée par un dispositif simple, relativement sobre et efficace. La psy est super, et même si le montage est un peu kitsch, son rythme permet de maintenir l'intérêt.

Saison 2 : 8/10

Toujours une aussi bonne expérience.

Saison 3A : 7/10

Dispositif toujours efficace, mais certains couples plus pénibles à suivre nuisent un peu à la saison.

Saison 4 : 8/10

Meilleur équilibre des couples, mais un souci commence à s'installer avec les fins de saisons qui tentent d'injecter un aspect feel-good forcé. Des gens sont dysfonctionels, c'est pas grave. Laissez-nous vivre avec cette réalité ! Bon après tout c'est une téléréalité.