Les films de golf

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Le véritable chef-d'œuvre des films de golf, et probablement aussi de la carrière d'Adam Sandler. Une comédie déjantée et hilarante sur un hockeyeur exclu de la ligue pour cause de violence et reconverti dans le golf... Culte !

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Bientôt !!!!

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La quête du swing authentique par Ranulph Junnuh, ex-champion de Savannah (Géorgie) revenu brisé de la Première Guerre mondiale, aidé par l'apparition providentielle du mystérieux caddie Bagger Vance. À la fin du film, Junnuh affronte les réels Bobby Jones et Walter Hagen dans un match à trois symbolique et ionnant. Un fable simpliste mais agréable sur la rédemption d'un homme.

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Roy McAvoy, dit « Tin Cup », un talent pur à l'ambition médiocre, décide suite à sa rencontre avec la belle Molly de tenter sa chance à l'U.S. Open, où il retrouve son ennemi juré David Simms. La morale : jouer beau vaut mieux que gagner. Un scénario gnangnan, à la limite de l'inable, mais un film finalement regardable, avec en guise de bonus les caméos de quelques-uns de meilleurs golfeurs américains de l'époque.

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Caddyshack offre à Bill Murray l'un de ses tout premiers rôles, un face à face épique contre un géomys, sorte de rongeur qui saccage le parcours dont il a la charge. Hum... Généralement considéré comme LE classique du film de golf, son humour lourdingue le rend pourtant pénible à regarder.

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Sorti en 1988 huit ans après le premier, "Caddyshack II" ne fait revenir des membres du casting d'origine que Chevy Chase dans un second rôle, et bien sûr la peluche animée du rongeur saccageur de parcours qui avait donné tant de fil à retordre à Bill Murray... Pourtant cette suite fonctionne plutôt bien parce qu'à la différence du 1 qui était essentiellement une succession de sketches, on a ici un vrai scénario. Rien de très novateur de ce côté-là - un self-made man aux idées libérales et riche à millions tente de se faire accepter, par amour pour sa fille, dans le très guindé Bushwood Country Club - mais le rôle principal est excellemment interprété par Jackie Mason, qui n'a pas fait une grande carrière au cinéma mais fut un grand nom de la stand-up comedy aux États-Unis. Jouant à fond sur le décalage entre les manières décomplexées de ce vieux beauf et l'attitude collet monté de Robert Stack, son adversaire du country club, le film est franchement drôle malgré l'aspect très prévisible de l'intrigue. Il est également bien servi par des seconds rôles savoureux, notamment ceux de Dan Aykroyd en ex-Marine devenu tueur à gages - qui reprend plus ou moins la place de Murray - de Randy Quaid en avocat fêlé, et de Chase en séducteur excentrique.

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La vie de Bobby Jones, immense champion de l'Entre-deux-guerres et seul joueur de l'histoire à avoir réalisé le Grand Chelem, en 1930. Un biopic correct malgré des acteurs fades (Claire Forlani, si tu me lis...).

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La mythique édition 1913 de l'U.S. Open, remportée par le teenager américain Francis Ouimet aux dépens des vedettes britanniques Harry Vardon et Ted Ray. Une reconstitution honnête portée par un Shia LaBeouf pas encore trop énervant.

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Un biopic romancé sur la vie et la carrière de Severiano Ballesteros, l'immense champion espagnol décédé d'une tumeur au cerveau en 2011. Une reconstitution honnête et fidèle.

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Un beau biopic consacré aux vies et carrières de Tom Morris Sr. et Tom Morris Jr., père et fils considérés comme les fondateurs du jeu de golf moderne. Un bel hommage aux origines du golf en tant que sport, dans cette rude Écosse de la deuxième moitié du XIX° siècle où l'on tapait des balles en gutta-percha, avec des clubs en bois, sur des terrains de golf encore quasi-sauvages, tondus par les moutons...

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De golf, il n'est que peu question dans le film de Craig Roberts, qui s'attache à raconter la vie, plus que la « carrière » sportive, de Maurice Flitcroft. Ce simple grutier sur un chantier naval de la côte Ouest de l'Angleterre devint là-bas un (anti)héros populaire que les journalistes de l'époque surnommèrent « le pire golfeur du monde ». C'est que Maurice, père de trois enfants - un adopté et deux jumeaux - avait un peu de mal à dre les deux bouts, et eut en tombant sur une retransmission de golf à la télé l'idée de tenter sa chance dans ce sport, où les dotations représentaient facilement plusieurs mois du salaire d'un ouvrier. Sans connaissances, sans matériel et surtout sans aucune maîtrise technique, ce doux rêveur alors âgé de 46 ans s'inscrivit au culot au British Open de 1976 en prétendant être golfeur professionnel, et signa lors du premier tour des qualifications le plus haut score jamais enregistré dans l'histoire de The Open : 121 coups, soit 49 au-dessus du par... Banni le soir même par les très rigides instances dirigeantes du golf britannique, Flitcroft effectua ultérieurement plusieurs autres tentatives pour participer au plus grand tournoi du monde, grimé de perruques et fausses moustaches et enregistré sous des pseudonymes aussi impayables que Gene Paychecki et James Beau Jolley !

On s'attache très vite à cet étonnant personnage, époux et père de famille aimant qui décide de se lancer à la poursuite de ses rêves plutôt que de continuer à trimer. Excellemment interprété par Mark Rylance, ce Maurice Flitcroft est tour à tour ridicule, touchant, irable. Véritable feel-good movie qui n'est pas sans rappeler "Joue-la comme Beckham", "The Phantom of the Open" fera, espérons-le, une meilleure carrière que son héros !

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En dépit du mépris de classe et du racisme ambiant, cinq lycéens qui travaillent aussi comme caddies dans un country club huppé du sud du Texas vont réussir, grâce à la guidance de leurs coachs, à devenir, lors du championnat d'État de 1957, de vrais joueurs de golf - et donc, des hommes dignes de ce nom.

Un bon drame de sport à l'américaine, autour d'une histoire classique voire presque cliché : comment des individus qui ont a priori tout contre eux vont réussir à devenir des champions et à gagner le respect de leur communauté. Ce n'est pas sans rappeler Les Chemins du triomphe (2006) sauf qu'au lieu de basketteurs noirs dans le Texas des années 60, il s'agit ici de golfeurs d'origine mexicaine dans le Texas des années 50.

La reconstitution et les décors donnent de la crédibilité au film, tout comme les performances des jeunes acteurs et de leurs deux mentors, interprétés par Jay Hernandez et Dennis Quaid. Même si tout est assez prévisible, on e un bon moment à suivre l'histoire - inspirée de faits réels, forcément ! - de ces Mustangs de San Felipe, même si on peut regretter le traitement plutôt léger des scènes de golf.

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Un biopic sur la légendaire athlète américaine Babe Didrikson-Zaharias, qui excella au plus haut niveau en basket-ball, athlétisme, base-ball et golf.

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Pour continuer à progresser, un gamin doué se tourne vers l'ex-star locale, qui a mystérieusement abandonné le golf des années auparavant. Dans un premier temps, le film annonce une histoire classique de transmission de savoir du héros-devenu-zéro au gosse de riche, mais prend une toute autre direction vers les deux tiers. Dommage, car il y avait matière à faire un film de sport correct, sur un sujet pas souvent abordé (la perception de soi-même suite à un acte de tricherie).

Malgré la présence d'acteurs chevronnés - Gary Sinise, Philip Baker Hall, Dylan Baker - autour de Mason Gamble (enfin un acteur avec un vrai swing de golf !), ce DTV n'est pas rentré dans les mémoires. Et c'est bien normal.

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Cette histoire de l'éveil spirituel d'un jeune Américain de age en Écosse, au d'un mystérieux gourou golfique nommé Shivas Irons, n'est déjà pas ionnante en soi, mais en plus est traitée n'importe comment. La réalisation est sans génie, le montage abuse des décalage temporels et les acteurs surjouent complètement. C'est d'autant plus dommage qu'il y a quelques têtes connues, comme Malcolm McDowell d'Orange mécanique, mais les voir s'égosiller en faisant de grands gestes dans des ages dignes de mauvais théâtre filmé devient vite agaçant. Les scènes de golf n'ont elles non plus aucun intérêt ; bref, on est plus près de l'endormissement que de l'éveil spirituel.

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Un biopic non autorisé sur Tiger Woods, apparemment introuvable.

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Le film, qui suit la trajectoire de la Thaïlandaise Ariya Jutanugarn jusqu'à sa première victoire, acquise trois longues et dures années après avoir laissé échapper un titre qui lui tendait les bras, est davantage un drame familial qu'un film de sport. Les scènes de golf, en particulier, ne sont pas convaincantes, pas plus que le rôle de Moriya qui est censée participer elle aussi aux compétitions et qui pourtant e sa vie à regarder sa sœur depuis le bord du parcours. Ce qui est un peu plus intéressant en revanche, c'est de voir comment les motivations d'un père pour faire de ses enfants des stars peuvent amener une famille jusqu'à l'explosion : même si c'est du déjà-vu et surtout que ce n'est pas vrai en ce qui concerne les sœurs Jutanugarn, ça a au moins le mérite d'insuffler un enjeu dramatique au film.

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Cette production de la 20th Century-Fox avec Darryl F. Zanuck au portefeuille et Sidney Lanfield à la caméra avait tout pour être une grande et belle histoire comme les Américains en raffolent, celle de la revanche d'un homme contre les aléas du destin. Tout, à commencer un duo d'acteurs de renom : Glenn Ford dans le rôle titre, et Ann Baxter dans celui de l'épouse dévouée. Le seul problème, c'est que le film est sorti trois ans trop tôt : en 1953, Ben Hogan devint le premier golfeur, et toujours le seul à ce jour, à remporter trois tournois du Grand Chelem dans la même saison : le Masters, l'U.S. Open et l'open britannique. Et tout ça en boitant !

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Sans atteindre des sommets, Mademoiselle Gagne-tout est une comédie de bonne facture, portée par des acteurs à l'aise dans des rôles taillés sur mesure.

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On note, pour les fans de golf, les guest appearances - parfois un peu gênées - de quelques-unes des grandes stars de l'époque : Ben Hogan, Sam Snead, Byron Nelson ou encore Julius Boros. Et si les pétillantes Donna Reed et Barbara Bates rivalisent de charme, The Caddy peine à susciter l'enthousiasme, la plupart des gags tombant à plat pour un résultat d'ensemble assez moyen.

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Tiré d'une histoire vraie, le film relate le sauvetage d'un officier américain esseulé dans la jungle vietnamienne suite à l'échec d'une mission de reconnaissance. Pour faire savoir son itinéraire à ses anges gardiens sans être repéré par les ennemis, qui écoutaient ses transmissions radio, Hambleton a utilisé un code basé sur sa connaissance approfondie de certains parcours de golf des États-Unis. Au-delà de la touche golfique, assez peu développée à l'écran, le film ne manque pas de scènes d'action, fictionnelles pour la plupart, et se regarde plaisamment.

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Entre scènes de cart wash (la version pour voiturettes de golf du e-temps très américain du car wash) assurées par des bimbos top-less, pitreries salaces et gags foireux, Golfballs! n'est clairement pas un grand film. Mais l'heure et demie qu'il dure e finalement assez vite, et assez bien. C'est nul, mais comme on rigole un peu, on finit par se dire qu'on a déjà vu bien pire...

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Quatre copains de fac, la quarantaine aujourd'hui, se retrouvent pour une réunion d'anciens dans un hôtel paumé. Ils décident de s'affronter deux contre deux sur le parcours de golf, et ce faisant les mensonges, non-dits et rancœurs des années de fac éclatent au grand jour. Un petit film dénué de grand intérêt, filmé sans génie et avec peu de moyens, mais qui se laisse regarder sans trop de prise de tête.

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Une comédie débile et finalement assez peu drôle.

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Rien, dans cette "comédie" labellisée "spin-off d'American Pie" par les distributeurs, ne vient tirer le téléspectateur de l'ennui. Entre scénario pourri et interprétation déplorable, ce Hole in One est une daube consternante.

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Que vient faire l'excellent Robert Duvall dans ce film excessivement mièvre et pénible, où le golf n'est qu'un prétexte à un message religieux à peine déguisé ? À regarder en toute connaissance de cause pour s'épargner ce douloureux sentiment de viol intellectuel.