Lus en 2014

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Lu grâce à la critique de Miharuchan :

http://senscritique.sitesdebloques.info/livre/Certaines_n_avaient_jamais_vu_la_mer/critique/17065419

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L’exposition coloniale de Paris en 1931 vue du côté Kanak, par un écrivain engagé qui évoque discrètement les révoltes en Nouvelle-Calédonie qui ont abouti aux accords de Nouméa en 1998. Intelligent, mais ne fera pas un souvenir impérissable.

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Littéralement obsédé par la seconde guerre mondiale, Modiano cherche d’infimes traces du destin d’une jeune juive dont les parents ont publié un avis de recherche le 31 décembre 1941 dans Paris-Soir

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« Il faut savoir qu’on reconnaît un collectionneur au manque d’intérêt notoire qu’il porte aux collections des autres ». Histoire d’un collectionneur compulsif qui tombe amoureux et croit ainsi guérir. Mais un nouveau T.O.C. l’obsède bientôt. Agréable à lire mais assez anecdotique à mon avis.

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Court roman lu d’une traite. Les mésaventures co(s)miques d’un extra-terrestre à la recherche de son co-pilote dans Barcelone, où il doit faire avec l’absurdité des mœurs locales. Lui-même, malgré son intelligence supérieure, se comportant d’une manière limite naïve. Souvent désopilant

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Un écrivain finlandais que je voulais découvrir depuis longtemps. Original et agréable, mais un peu décousu

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Lu en une petite matinée. Un bref roman qui évoque la descente aux enfers d’une jeune parisienne jusque vers les Landes. Echenoz se montre assez désenchanté. Il réussit néanmoins un joli tour de e-e bien dans sa manière

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« Un lac est le trait le plus beau et le plus expressif du paysage. C’est l’œil de la terre, où le spectateur, en y plongeant le sien, sonde la profondeur de sa propre nature. Les arbres fluviatiles voisins de la rive sont les cils délicats qui le frangent, et les collines et rochers boisés qui l’entourent, le sourcil qui le surplombe. »

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Tout est dans le titre, à la fois l’événement (le age d’un ouragan qui pouraît être Katrina) et dans le style de Gaudé qui emporte son lecteur. Marquant

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Erlendur enquête sur l’assassinat d’un jeune garçon dont la mère Thaïlandaise est venue en Islande vivre avec son mari venue la chercher spécialement. Radioscopie de la société islandaise peu préparée à recevoir des immigrés venus de si loin. Du solide mais pas le meilleur Indridasson à mon avis.

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La littérature américaine dans ce qu’elle propose de meilleur. Les grands espaces pour le décor. Une famille avec ses conflits pour la trame. Un style qui accroche d’emblée et une narration qui maintient l’attention jusqu’à l’ultime phrase.

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Lu grâce à la critique de zombiraptor. Un beau roman allégorique, le personnage central étant Buck, un chien qui subit les aléas de l’existence pour devenir chien de traineau, allant de maître en maître, d’équipage en équipage, avec une volonté de fer qui l’oppose notamment à Spitz. Leur affrontement étant le sommet du roman, la suite m’a moins captivé.

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Le jeu d’échecs vu comme une bouée de sauvetage qui peut se retourner contre son irateur, jusqu’à devenir une obsession maladive. Beau texte intemporel qui illustre tout ce pourquoi Zweig luttait (avant de renoncer). Magnifique illustration du pouvoir de l’objet livre.

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Raconter c’est essentiel pour clarifier ce qu’on a en tête. C’est ce que fait Yoko Ogawa et ce qu’elle fait sentir à sa manière en imaginant une situation originale. Sensible mais pas exceptionnel.

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Lu grâce à la critique de BMR

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Il est indéniable que Brett Easton Ellis livre ici une vision marquante et intelligente de la jeunesse désabusée d’un milieu hautement favorisé de Los Angelès. Entre sexe, drogue et absence de sentiments, ainsi qu’une peur existentielle illustrée par la maxime « Un endroit où disparaître ». Problème, le vide de ces existences envahit tout le bouquin et on ne s’attache à aucun personnage et les péripéties sont souvent inintéressantes au possible, avec un style très répétitif du genre « J’ai fait ceci, je suis allé à tel endroit et j’y ai discuté avec machin. » Lu grâce à la critique de LilaK