Top 10 Séries selon guigui32140

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Chef d'oeuvre absolu. D'une beauté, d'une finesse, d'une justesse, d'un réalisme saisissant. Des personnages tellement riches et développés qu'on a l'impression qu'ils font partis de notre famille. Bref une master class.

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Malgré un final à chier (mais tout bonnement et irrémédiablement à chier) qui trahit de façon éhonté ses personnages, son univers, ses dialogues, sa logique. GOT reste un monument dans le monde impitoyable des séries.

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Dévoré les deux saisons et le spin off en littéralement 72 heures (boulot inclus). Une claque visuelle, des acteurs impeccables et un scénario haletant.

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Un monument.

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Si l'on ne retenait de Desperate Housewives que ses 3/4 premières saisons, tous le monde considérerait que la série reste un monument du soap et a révolutionné en son temps les codes de la série télé. Hélas, la série s'est étouffée dans son désir effréné de perdurer et les 3 dernières saisons font assez mal au cœur au vu de toutes les qualités que la série a perdu en chemin. Les premières saisons restent néanmoins une petite madeleine de Proust que je dévore à l'envie en qu'à d'ennui.

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La réussite incontestable d'une saison 2 d'une série à une seule saison (pas si géniale au re visionnage) que tous le monde avait oublié et dont personne n'attendait de près ou de loin la suite.

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Une série qui se termine en eau de boudin selon les volontés capitalistes de Netflix.

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Historiquement bidon mais sublimé par les décors, les costumes et surtout l'interprétation des 6 épouses de ce roi psychotique.

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Une seconde saison au rythme trop saccadé et accéléré gâche hélas une série dont la saison 1 est une véritable maestria.

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Une série toute en finesse et en délicatesse sur la réinsertion sociale d'un condamné à mort et de sa famille.

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Excellente série chorale malgré quelques personnages linéaires et antipathiques (Calmity Jane et le raciste en première ligne).

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Excellente mini série sur l'islamisme radical, ses ressorts et ses pièges. D'un cruel réalisme et d'une redoutable efficacité.

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Une saison 5 nullissime et un final quelconque ne peuvent effacer les 4 premières saisons de Lost, première série dont je suis véritablement tombé amoureux à mes 11 ans. Série qui malgré ses longueurs et ses nombreuses faiblesses, à révolutionné la façon de faire des séries télé et ouverts la voie à toute une génération de série ambitieuses.

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Mordant, irrévérencieux, libre, hédoniste, immanquablement en avance sur son temps (surtout quand on remarque à quel point le conservatisme bourgeois et le fanatisme religieux débile sont en train de gangrener la société actuelle à un niveau mondial rarement atteint).

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Une bonne série ado sur une lycéenne cynique et mordante, à des milliers de kilomètres des codes des séries ado de l'époque que furent les navrants Bervely Hills et autres 7 à la maison.

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Bonne série sur les compromissions, trahisons et corruptions qu'entraîne le pouvoir (même si le personnage de Birgit Nyborg aurait mérité une transformation encore plus poussée à la Nixon.

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Série ado que j'ai finalement découvert à l'âge adulte. Un plaisir finalement de revenir dans cette tranche de vie avec des scénaristes qui semblent pour une fois avoir vraiment cerné les adolescents de leur époque (quand tant de séries y échouent lamentablement). La première génération (saison 1 et 2) reste néanmoins la plus aboutie, la plus intéressante et surtout la plus crédible.

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Un univers glaçant et des personnages secondaire réussis (Tante Lydia et Serena Joy en particulier). La série à partir de la saison 3 malheureusement commence à patiner en raison d'une intrigue qui avance très lentement (la gamine de 6 ans de June doit en avoir à présent 18...) et de personnages secondaires à l'écriture sacrifiée (Emily, Moira, Rita).

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Une transition que je trouve réussie entre les 3 premières saisons essentiellement politiques et une deuxième partie (saisons 4/5) qui tourne au mélodrame vulgaire mais efficace (la saison 5 reste néanmoins la plus poussive). La réalisation est efficace et les acteurs (à l'exception d'une bogossisation incompréhensible du prince Charles en saison 4/5) criants de ressemblances.

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Une première saison magistrale mais sans égalé la richesse de son aînée GOT
Une seconde saison très bien écrite mais qui accuse des longueurs un peu irritantes.
J'attends néanmoins la suite pour avoir un avis plus réaliste.

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Une série qui contrairement à son aînée les Simpson, à eu l'intelligence de s'arrêter à temps.

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Si on ne garde en tête que les 12 ou 13 premières saisons, les Simpsons restent un incontournable qui malheureusement aurait mieux fait de tirer sa révérence au milieu des années 2000 avant que la mort des différents doubleurs entraîne la disparition pure et simple les personnages secondaires les plus attachants de la série (Madame Krapabelle ! à jamais dans mon cœur ! ) ou nous infligent en de nouveaux doubleurs qui n'auront jamais le tiers du talent de leurs prédécesseurs (la voix actuelle de Monsieur Burns... quelle horreur!).

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Mini série sans prétention et plutôt convaincante sur le cheminement interieur d'une jeune fille qui cherche à fuir l'étouffant communautarisme juif ( vous savez, celui dont on ne parle jamais parce que...)

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Si la longévité de New York Unité Spéciale a dût faire rêver d'envie toutes les séries policières merdiques concurrentes (Bones, Castle, NCIS, Mentalist, Esprits Criminels et autres Experts) c'est que New York Unité Spéciale à ce truc en plus : on en a rien a braire des flics, leurs histoires de cœur, leur humour pourri ou leurs états d'âmes. Ce qu'on veut voir c'est : une enquête, du glauque et une équipe professionnaliste.

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vulgaire, trash et délicieusement drôle.

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LA série que tous le monde à regardé et notamment les jeunes. Vous connaissez la suite. Forcément si c'est mainstream et si les jeunes regardent, on a eu droit à tout un tas d'experts du bon goût pour nous expliquer que c'était de la merde en barre. Sauf que le succès de Squid Game repose davantage sur sa mise en scène riche et réussie que sur son spitch de départ et sa morale simpliste. Oui c'est clairement pas avec cette série que vous pourrez écrire votre thèse de philosophie, mais ça reste efficace.

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Juste dans le classement car la série m'a enfin permis de voir des membres de ma communauté qui ne semblaient pas tous échappés d'un porno ou des Dieux du Stade.

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Si Grey's Anatomy avait eu l'intelligence de s'arrêter en saison 6 ou 7, on en garderait pour beaucoup un souvenir bienveillant et pas ce petit rire pincé et moqueur qu'on affiche aujourd'hui tant la série est devenue depuis plus de 10 ans d'une nullité infâme et prenant plaisir à dégager progressivement les meilleurs acteurs (bon ok, beaucoup se tirent d'eux-mêmes) pour ne conserver que les plus inutiles, mauvais ou oubliables. Les 3 premières saisons de Grey's Anatomy en restent pas moins, drôles, rafraichissantes, attachantes. Les saisons de 4 à 6 restent convenables. é la saison 8, la série devient une lente agonie (ou une parodie ratée). D'après les ouïes dire des rares personnes de mon entourage qui la regarde encore (j'ai laissé tomber en saison 8) ça ne s'est clairement pas arrangé.

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Série assez quelconque si on la regarde avec nos yeux actuels mais qui aura bercé toute une génération (les 4 premières saisons du moins). La série devient néanmoins totalement sans intérêt une fois que les sorcières auront fauché un certain démon à la peau rouge et à l'acteur puant le sexe en saison 5.