Critiques de Une fille, qui danse

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Un roman dont on se souviendra

Le Man Booker Prize est un prix littéraire anglais qui, contrairement à son homologue français le Goncourt, s'est rarement trompé pour décerner son prix. Ainsi en 2011, nous avons couronné un premier...

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le 18 févr. 2013

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Critique de par Pouyou

Qu'est-ce que l'Histoire? C'est ce à quoi Julian Barnes tente de répondre via son personnage Tony qui, à l'aube de la soixantaine, se retrouve confronté à son é suite à une petite ligne dans un...

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le 25 févr. 2014

3 j'aime

9

Critique de par lettie

On se souvient rarement des premières et dernière lignes d'un livre. De Mrs Dalloway seule j'ai gardé en mémoire la première phrase. Julian Barnes sait accrocher ses lecteurs. Les premières lignes...

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le 29 avr. 2013

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7

Critique de par Nadouch03

Voici un roman où il ne se e certes pas grand chose, mais où les sentiments et les sensations sont profonds... Le narrateur, Tony, revient sur sa jeunesse, son premier amour, Veronica, et son...

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le 2 oct. 2020

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8

Critique de par MerMaid

Une fille qui danse, un titre qui finalement n'a pas grand rapport avec le contenu de ce merveilleux roman. Ou peut-être si justement. Il s'agit d'un souvenir qui, réapparaissant progressivement, et...

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le 16 janv. 2015

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8

La mémoire, les souvenirs, peut-être le mensonge...!!!

Oubliez le titre français stupide qui ne résume en fait qu'une seule scène du livre car l'original, "The Sense of an Ending", traduit parfaitement le propos du roman. L'histoire : Tony, la...

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le 1 juin 2015

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2

Critique de par François CONSTANT

Ce roman, « Une fille qui danse » de Julian BARNES (Folio n°5778), c’est l’histoire de Tony qui n’arrête pas de se raconter des histoires sur son histoire… Sexagénaire, il a maintenant tout le temps...

le 5 nov. 2014

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3

Critique de par Nina in the rain

Ennui. C’est le seul mot qui me revient au souvenir de cette lecture pour laquelle j’ai attendu bien trop longtemps d’écrire le billet. A peine une semaine plus tard, j’ai déjà oublié. Oublié de quoi...

le 10 avr. 2013

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Critique de par Comité De Lecture Anglet

1. Quarante ans après le suicide de son meilleur ami, avec lequel il se disputait la même fille, un sexagénaire est convoqué par un notaire et reçoit un étrange héritage qui le replonge dans le...

le 7 mars 2013

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5

Rien à irer aux Sixties

On n’y comprend rien. Tout comme le personnage principal, Tony, qu’une ex-petite amie traite d’imbécile en lui répétant sans cesse qu’il « n’a jamais rien compris, ne comprend rien et ne comprendra...

le 11 mai 2025