Ayant été subjugué par Le Garçon, le précédent roman de Marcus Malte publié en 2016 et récipiendaire du prix Femina, je me suis jeté sur Aires dès sa sortie. Pressant le pas après mon achat pour parcourir les mille mètres qui séparent la librairie de mon domicile, c’est fébrile que je me suis plongé dans ce livre et que j’en ai commencé la lecture. Complètement différent de son prédécesseur sur le fond comme sur la forme, les premiers chapitres de ce nouveau roman de l’auteur Seynois m’ont quelques peu désarçonné – mais, finalement, sans être aussi envoûtant que Le Garçon, Aires n’en demeure pas moins très bon.
Critique complète : http://www.litteratureetculture.com/marcus-malte-aires-critique.html