Un Modiano différent, mais pas trop quand même, mais suffisamment pour que ça se ressente. Voilà comment je l’ai décrit après avoir tourné la dernière page. Toujours un bloc-note à la main, avec ces noms et adresses mystérieux, quelques personnages moins floutés mais toujours dans l’ombre, une intrigue dans le é mais avec plus de souvenirs. Nous retrouvons donc nos standards modianesques mais avec une touche nouvelle, plutôt bienvenue car bien amenée. Un nouveau roman qui ne trahit donc pas le style de l’auteur tout en apportant un vent de fraîcheur à l’œuvre. Presque une enquête, mais sans dénouement. Bref j’ai adoré.
J'ai fait une énorme bêtise, une grosse bourde, un impair irréparable… J'ai terminé « Chevreuse » il y a cinq jours et là, maintenant, au moment de commencer ma chronique, je me rends...
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le 30 oct. 2021
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Même si les romans de Patrick Modiano restent constants dans la qualité, avec ce style et ces ingrédients immuables, pourtant on peut dire que l’on n’avait pas été emballé comme ça depuis quelques...
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le 20 oct. 2021
4 j'aime
Et si Patrick Modiano n'était autre que le plus facétieux de nos écrivains ? A nous resservir jusqu'à plus soif une variante du "train fantôme du é enfoui" (expression piquée à David Caviglioli...
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le 5 avr. 2022
3 j'aime
Joel a perdu de son inspiration. J’entends Qu’il soit fier de l’affaire Quebert et du Livre des Baltimore, mais si il peut éviter de nous le rappeler à chaque chapitre, ça nous ferait le plus grand...
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le 4 avr. 2022
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9
La première partie était très bien. Comme souvent avec Nothomb, de l'autobiographique, avec le récit de sa jeunesse et de son attrait pour les oiseaux. C'est sympa, on visite du pays, on en apprend...
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le 31 août 2023
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Au programme 2010/2011 des prépas scientifiques, j'ai lu ce livre cet été. J'ai déjà lu des livres longs... même très longs. Mais alors celui-ci est le plus long de tous. 360 pages qui en paraissent...
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le 25 sept. 2010
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