Dès les premières pages, j'ai buté sur l'écriture, je n'arrivais pas à entrer dans les phrases. Ca accrochait. C'est parfois le cas avec certains ouvrages et ça m'empêche d'aller plus loin. De plus, j'ai trouvé que la façon d'aborder le thème était pesante. J'ai donc stoppé ma lecture, faisant ainsi usage du troisième droit des lecteurs de Pennac: Le droit de ne pas finir un livre.
Créée
le 14 janv. 2017
Critique lue 132 fois
Les critiques à la Rentrée ont parlé du "livre de la Rentrée" - je ne sais pas si j'irai jusque là mais l'exercice est intéressant. On n'a pas à faire à une biographie mais à une lettre, une...
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le 29 oct. 2016
2 j'aime
"Comment tu parles de ton père!" Rien que le titre est déjà une impertinence... Dans ce livre, Joann SFAR se donne les moyens de 'glorifier, sanctifier', le Nom de son père. Pour être correct, par...
le 27 nov. 2016
1 j'aime
================= Je n’ai pas encore lu le chat du Rabbin, ni les autres… C’est grave docteur ? Par contre, j’ai découvert Joann Sfar avec « L’éternel » qui m’a fait rire. J’ai aimé le style Sfar,...
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le 14 oct. 2016
1 j'aime
Je me suis lancée dans la lecture de ce roman sur les conseils d'une collègue qui me l'a vendu comme Le livre de l'été. Même si je ne sais pas si je lui attribuerais ce prix, je reconnais que j'ai...
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le 18 nov. 2016
3 j'aime
Un petit livre sympathique sur les secrets d'écriture des romanciers. On apprend plein d'anecdotes croustillantes. Ca se lit vite et on e un bon moment.
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le 14 janv. 2017
1 j'aime
Une version contemporaine et très éloignée du conte original mais qui se laisse lire avec intérêt. Une lecture qui donne aussi à réfléchir sur l'importance de la beauté et la laideur dans notre...
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le 20 nov. 2016
1 j'aime
