Il y a sept nouvelles différentes. Je donne une note de six ou sept au six premières. Mais la dernière, intitulée « des hommes sans femme », est largement au dessus du lot selon moi.
Cette dernière nouvelle mêle pensées existentielles, considérations amoureuses, métaphores oniriques, elle nous touche en plein cœur. J’apprécie d’ailleurs beaucoup l’expression onirique non lyrique : pas de « ô temps suspends ton vol » mais des formules humbles, quotidiennes, à portée d’Homme en quelque sorte.
Relire absolument cette dernière nouvelle de temps en temps (comme un petit prince).