J'ai été épaté. Matheson fils réussit non pas à construire des histoires, mais des mondes entiers, et les fait vivre en seulement quelques pages.
Souvent violentes, souvent cyniques, parfois drôle comme dans "Troisième souffle" mais aussi "C'était écrit", que je trouve extra. Surtout par sa conclusion.
Mais quelles conclusions ! La majorité du temps, j'étais épaté, ahuri ; par la fin d'une histoire.
"Whatever" tellement réaliste que je me suis demandé si ce n'était pas "réel".
Sinon quelques-unes sont très dérangeantes. Je pense à "Études supérieures" où des lettres d'un étudiant à ses parents...
"Sévices", "Rouge"... quelle conclusion dans ces deux-là.
"Cité des rêves" aussi, très poétique et rafraichissant face à la violence de la majorité des nouvelles.
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