Créée
le 29 juil. 2013
Critique lue 118 fois
Désormais sur mon blog : http://charybde2.wordpress.com/2014/03/21/note-de-lecture-effacement-percival-everett/
Par
le 9 janv. 2013
3 j'aime
Une bonne idée et une réflexion satirique sur la littérature et les clichés. Le récit s'embourbe un peu sur la fin et l'acidité des débuts se dilue un peu.
Par
le 29 juil. 2013
Déjanté, irrévérencieux, virtuose...un ovni comme la littérature américaine recèle parfois.
Par
le 24 sept. 2010
Cantine d’EuropaCorp, dans la file le long du buffet à volonté. Et donc, il prend sa bagnole, se venge et les descend tous. - D’accord, Luc. Je lance la production. On a de toute façon l’accord de...
Par
le 6 déc. 2014
779 j'aime
107
Il y a là un savoureux paradoxe : le film le plus attendu de l’année, pierre angulaire de la production 2019 et climax du dernier Festival de Cannes, est un chant nostalgique d’une singulière...
Par
le 14 août 2019
727 j'aime
55
La lumière qui baigne la majorité des plans de Her est rassurante. Les intérieurs sont clairs, les dégagements spacieux. Les écrans vastes et discrets, intégrés dans un mobilier pastel. Plus de...
Par
le 30 mars 2014
627 j'aime
53
