Comme un avion sans aile
Installé depuis quelques temps aux Etats-Unis avec femme et enfants, le narrateur travaille dans la finance. Son couple n'est plus ce qu'il était et il entame une relation sans avenir avec une...
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le 24 janv. 2025
Le livre est une promenade dans les années 1990 et 2000 et les transformations du monde pendant cette période : finance folle, mondialisation, chute du mur, privatisation de la Russie,... Probablement en partie autobiographique, pas seulement par l’emploi de la première personne, mais on sent aussi que la vision désabusée du monde est celle de l’auteur.
Mais il n’y a finalement pas vraiment une histoire, c’est une succession de petites histoires sans lien entre elles, comme le titre l’annonce d’ailleurs. Pourquoi juxtaposer tout cela, avec si peu de lien ? En manque d’idées nouvelles, on colle des fonds de tiroirs ?
Dommage, car on reste sur une impression de superficialité dilettante, de remplissage, alors qu’il y avait de quoi bâtir un roman solide, basé et structuré sur une seule histoire.
J’ai accroché le livre à partir du coup de théâtre de la page 66, qui va déclencher une belle intrigue, mais là aussi, pour seulement une partie du livre, puis on e à une autre histoire, puis encore une autre. Frustrant…
Bizarrerie littéraire : une famille sans noms…
L’épouse, dont il est abondamment question, n’a pas de prénom : ça donne une succession de “ma femme”, de “elle”, et on ne saura pas comment elle s’appelle…
De même pour les enfants, qu’on retrouve très souvent, mais qui n’ont droit qu’à “ma fille”… “mon fils”…
Était-il nécessaire de les anonymiser pour mieux faire ressortir le personne principal, qui ne parle en effet que de lui-même, les autres n’existant qu’à travers leur rapports à lui ?
Créée
le 9 avr. 2025
Critique lue 4 fois
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le 24 janv. 2025
Un homme d'affaires succombe à son tropisme américain et part travailler dans la finance à New York. Il se ionne pour son activité, aux dépens de son couple, son épouse se suicidant, suite à une...
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J’ai mis 220 pages à prendre la décision d’arrêter, car je me forçais à continuer, au cas où, et par respect pour le drame à l’origine du livre.Encouragé par l’enthousiasme général et la critique...
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le 1 mars 2020
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3
Ce film de 1973 a un peu vieilli. On n'imagine plus un film comme celui-ci sortir aujourd'hui. Mais l'histoire est belle et les acteurs sont bons. Deux étudiants n'ayant apparemment rien en commun...
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le 20 sept. 2020
3 j'aime
Oui, édible car très comestible: c’est une bonne série, à déguster sans modération ! Et c'est dicible, n’en déplaise à des esthètes difficiles qui font la fine bouche sur un détail sans vouloir...
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le 24 mai 2020
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