Lundi 20 mai, aux environs de 11h30, je referme "la conjuration primitive" sur la dernière page. Les pensées fusent...et si...et si...et si...Le souffle coupé par tant de profondeur, de violence, d'espoir... Rarement un auteur ne m'aura fait plongé de la sorte dans les méandres de la barbarie humaine, dans la folie et le doute. Les rebondissements sont nombreux, et jamais ceux que l'on croit voir venir. Tout est ficelé, plus ou moins gros parfois mais toujours dans la tenue, rarement dans la retenue.
S'il pense écrire un livre dans la même veine, je ne sais pas s'il pourra aller au-delà de l'horreur comptée dans "la conjuration primitive".
Une mention pour le petit cross-over à la fin qui m'a bien fait sourire. Il est 20h23 et je suis encore un peu dedans. On n'en ressort pas indemne en tant que lecteur, alors en tant qu'écrivain...