Choisi lors de la Masse critique romans policiers du mois de mars sur Babelio, Les fantômes de Reykjavik de Arnaldur Indriðason lu par Martin Spinhayer fut une expérience très enrichissante.
Quelques mots sur l’histoire
Arnaldur Indriðason retrouve son personnage Konrad qui était apparu dans Ce que savait la nuit. Flic à la retraite, il est tout aussi perturbé qu’Erlendur Sveinsson, son enquêteur attitré. Car son é semble difficile à assumer. Le deuil récent de sa femme, après de nombreuses années de vie commune, l’a rendu encore plus vulnérable.
Un couple de retraité le e pour retrouver leur petite fille, Danni, disparue depuis quelques jours. Il a déjà connu cette famille après le drame qui avait touché leur fille lorsqu’il était en poste. Ses grands parents le préviennent tout de suite que leur petite fille faisait quelque fois la mule… Bientôt son copain, Lassi, devient important.
Mais, Arnaldur Indriðason ouvre son roman sur un jeune homme qui médite près d’un lac, son calepin à la main pour noter ses poèmes. Au loin, il aperçoit une poupée qu’il tente de repêcher. Mais, plus loin encore, une masse sombre attire son attention… au loin, c’est le corps d’une fillette qu’il découvre. Ce récit date de 1947. Cette fillette se nommait Nanna.
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