Le commissaire Benoît Lorand se réveille enfermé dans une cave en compagnie de la jolie rousse avec laquelle il est rentré la veille au soir. Mais comment ? Pourquoi ? Que fait-il ici ?
Lydia, sa tortionnaire, va le priver de nourriture et de soins jusqu'à ce qu'il avoue un crime qui ne lui dit rien du tout. Une vraie guerre psychologique s'engage dans ce roman au sein duquel le lecteur est aussi perdu que le pauvre Benoît. Voilà qui fait des Morsures de l'Ombre un polar haletant.
Assez court, il n'en est que plus percutant. Plus de contenu aurait aussi certainement amené plus de longueurs.
La fin m'a laissée un peu surprise, ce qui n'est pas une mauvaise chose, mais j'aurais aimé plus d'explications.