Le libéralisme est une maladie mentale

Dans cette déroute générale de l'objectivité, dans cette débâcle de toutes les données supérieures de l'esprit humain, pendant que la langue ferme et lumineuse du peuple s'enlise dans ces Palus-Méotides d'intellectuels et philosophes de merdes, il en résulte les plus ignobles Bêtes médiatiques. Il y en a de toute taille et de tout genre. Il y en a de pelés et de lombrics, de putrides et de lamentables. Il y en a même qui sont pleins de juvénilité et d'autres qui sont grabataires. C'est l'immense catéchisme victorieux et bourgeois des hurleurs immondes du système. Louis Sarkozy, comme son nom laisse présager, en fait partie.


Les dés sont jetés, il va donc falloir vivre dans cet abîme publicitaire, au petit bonheur de l'étouffement. Pas la peine de s'égosiller et nul moyen de fuir ; il est bien trop tard, le fils Sarkozy est confortablement installé sur toutes vos chaînes.

Voyez-vous sa tête ?

Une frondaison en guise de tignasse de mérinos noir, hérissée, hirsute et peu fourni, semblable à quelques nids de coucous tristes et mal famés. Ses yeux de bovins, ronds et inanimés, se tiennent toujours dilatés et s'avèrent toujours étonnés des calamités sortant de sa bouche. Parfois ce cafard hausse le ton et prend un air de cowboy. Mais tu ne trompes personne, si ce n'est toute cette Pentapole d'imbéciles journalistes ; tu as beau faire le rebelle, tu restes une farce. Une farce physionomique, anthropologique et métaphysique. « J'ai toujours servi la et je suis pour une dure. » s'exclame-t-il en bombant le torse. Si tout le monde avait « servi » la comme ta lignée de parasites, j'imagine que ce pays serait Allemand jusqu'au fond de son trou du cul.

Par pitié, qu'une spermatorrhée d'idéal arrive à lui pour lui interdire la fornication sexuelle de manière à ce qu'il ne puisse plus se reproduire et qu'on diminue statistiquement le nombre de fils de putes qui écument l'intelligentsia française de père en fils.


Le livre du fils de l'ancien président est un piètre plagiat de « Napoléon et les bibliothèques » de Charles Eloi Vial, avec l'intelligence en moins et les lieux communs en plus. Par ailleurs, Louis Sarkozy lui-même avoue à Léa Salamé : « Je suis qu'un arnaqueur ».

En somme, une écholalie d'un bourgeois ; quand il ne récite pas bêtement — et en moins bien, il gobe dans ses soirées mondaines et phanerogamiques pour être invité parmi les sommités des chaînes publiques : LCI, BFM TV, 2.

D'un constat établi par Hannah Arendt dans « La crise de la culture », elle écrit que les « porte-parole modernes de l'autorité savent que leur cause est une cause perdue ». La philosophe fait référence à ce qu'elle appelle « crise de l'autorité », que nous pouvons schématiser comme une structure pyramidale de notre univers collectif. La crise de cette structure implique donc de nouvelles figures de l'autorité plus diffuses, venant de l'univers médiatique et publicitaire, des divers réseaux informels qui occupent le monde numérique. Par voie de conséquence, sur des questions scientifiques, on convoque E-penser ; sur des questions politiques, on convoque Hugo Décrypte ; et sur des questions géopolitiques, on convoque le très sioniste (comme les deux personnalités précédentes ceci dit) Squeezie. De fil en aiguille, nous voilà, pour parler de littérature et Napoléon, convoquer l'expert Louis Sarkozy.


Aussi longtemps que nous subsisterons ici-bas, au sein de l'harmonie du monde, de la Poésie du quotidien, sous l'auvent de la Voie lactée, il y aura des êtres affamés de Beau et d'Infini, comme on est affamé de pain. Solitaires picrocholines du grand Rêve, nous cherchons un abri sur la face de la terre et nous voilà contraint de compagnonner avec des porchers pour ne pas croupir sans refuge.

Pourtant, il faut y croire. Ref ce que la société de consommation nous offre et tenir droit ce principe d'intégrité : ne jamais laisser sa sensibilité à aucun pouvoir constituant de l’État. Comme la nature est indestructible et ordonnée, il arrivera un jour, grâce à l’œuvre d'un numineux baiser du soleil ou l'influence cométaire d'un astre inconnu, un détersif sentiment vagabond, inondant votre cœur, submergeât à jamais, dans des vibrations de conflagration, votre âme phosphorescente et virginale que les fripouilles de la démocratie pensaient avoir exterminé. C'est à ce moment précis que vous serez poètes.

1
Écrit par

Créée

il y a 4 jours

Critique lue 55 fois

2 j'aime

LanaDelKhey

Écrit par

Critique lue 55 fois

2

Du même critique

LMF

l'antisystème du système

Le mot "subversif" a été galvaudé de manière à nous paraître qu'un simple apparat ou un colifichet quelconque lorsqu'il est chanté par un artiste quelconque. Freeze Corleone est l'un de ces artistes...

le 12 sept. 2020

23 j'aime

28

Julien Rochedy, mon able petit cochon

L'âme est située si près de Dieu que le mot pauvre est une expression d'amabilité forte. Quand le cœur se tue de comion et d'amour, en ces moments auxquels on ne peut presque plus retenir ses...

le 24 juin 2021

20 j'aime

22

TheKAIRI78
10

when its pelouse its match

Les turpitudes récentes de TheKairi78 sont madrigalesques, virginales, liliales, voire sibyllines pour ceux qui ne sachent aimer une âme. Quoiqu'en disent les corbeaux de la sainte morale. Dès lors...

le 18 août 2020

14 j'aime

1